Le blog de Clairemarc
J’ai tremblé de désir tout le week end … et les lectures érotiques
du week end n’ont rien arrangé…
Comment ne pas avoir envie de lui …
Alors dans le train, il me suffit de quelques lignes dans le genre
«50 nuances de Grey » pour me faire, me trémousser sur mon
siège.
Le train est tranquille, je m’enfonce un peu plus dans le siège
afin de profiter pleinement de mon livre. Une veste
jetée sur moi pour cacher ma main qui se glisse entre
mes cuisses…
La lecture avance, page après page , l’héroïne hurle son plaisir
et moi les joues rouges j’appuie doucement à travers mon
jeans … Je sens mon sexe chauffer, s’ouvrir doucement …
Je ne tiens plus, il ne me reste plus qu’à le prévenir, lui dire
que je ne tiens plus…
SMS
ELLE : chéri, j’ai envie de
toi
Lui : Moi aussi. Vivement que tu
rentres.
ELLE : tu n’as pas compris … j’ai envie de
toi…maintenant !
Lui : Tu mouilles ?
ELLE : je crois bien que oui
…
Lui : vérifie !
Et me voilà dans cet énorme TGV, en train, doucement et le
plus discrètement possible de glisser un doigt sur mon
sexe afin de vérifier …
Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que je suis trempée et
que cette vérification n’était que pour m’exciter un peu
plus.
ELLE : c’est confirmé.
Lui : vas te caresser!
ELLE : ici ? dans le train
?
Lui : oui et je veux une photo
!
Les questions arrivent dans ma tête aussi vite qu’avance ce TGV
: Comment faire ça discrètement ? puis je me lever sans
que mes jambes défaillent ? rester sur mon siège
?
J’opte pour un mix entre mon siège et les toilettes.
ELLE : je suis allongée tant bien que mal sur le
fauteuil, j’ai glissé une
main dans mon pantalon et j’ai tiré sur ma culotte afin qu’elle frotte sur mon clito.
Lui : c’est bien tu as retenu la leçon de la
dernière fois.
Lui : tire dessus, afin que tu sois bien ouverte
et que lorsque tu t’enfonceras tes doigts ils rentreront tout seul.
ELLE : oui mon adorable maître
!
Ma culotte me cisaille la fente et j’aime ça…
Je continue de lire tout en tirant sur le haut de ma culotte, le
coton tiré, l’excitation, le lieu … font le
reste.
Je suis trempée.
ELLE : je ne tiens plus.
Lui : file aux toilettes, baisse ton pantalon et
fait moi une photo de cette belle chatte humide.
Traverser le wagon me parut interminable !
J’avais l’impression que tout le monde savait … Savait quoi
?
Que j’étais trempée, que j’allais me caresser, que j’allais obéir
à mon amoureux.
Me voilà arrivée …
Coup de chance c’est libre, je me précipite …
Baisse mon jeans, et tout en écartant les cuisses prends une photo
à envoyer à Loulou
ELLE : *photo* pour toi, pour te montrer combien
tu m’excites.
Lui : mets ton doigt
J’obéi … mais ça ne me suffit pas …Les mouvements du TGV ne me facilitent pas la tâche. 2 … je suis trempe …
Lui : je suis sûr que tu en as déjà mis 2, coquine
que tu es !
3 … je sens une goutte de sueur me glisser dans le dos
…Je veux tellement plus … quelque chose de plus gros …sa bite
!
Lui : dis-moi, je veux savoir où tu en es … ne
jouis pas temps que je ne
t’ai pas donné mon accord.
Elle : je te déteste… je suis en train de
fondre.
Lui : enfonce ta main comme tu sais si bien le
faire… photo !
Elle : *photo* pour toi …
Lui : ressort ta main d’un coup et remet là au
fond
Il me connait par cœur …
Je ressort ma main, trempée … elle brille !
Je la renfonce… elle rentre toute seule en une fois…
Me sentir pleine comme ça m’excite encore plus . J’en veux encore
… plus… plus fort… plus loin.
Lui : Sors un sein, pince le
!
Me voilà dans un TGV qui me conduit dans les bras de mon homme ,
entrain de me toucher comme une chienne en
chaleur…J’ouvre mon chemisier, je sors un sein, lourd, qui
pointe et je le pince fort.Ces petites tortures me font du
bien et m’excitent tellement…Je relève la tête et vois mes
yeux embués , perdus, mes lèvres gonflées à force de les
mordre.
Lui : JOUIS !
Le message de délivrance ! Je ferme les yeux , mets ma tête en arrière et … Pousse ma main au fond de moi, le plus loin possible…Je sens le plaisir venir. Le temps de mettre ma main devant la bouche…
Mmmmmmmmmmh !
Je suis épuisée, je ne sais plus où je suis , ce que je fais là
…Je me rhabille, me réajuste … retraverse ce couloir qui me
conduit à mon siège. Je tremble encore .
Lui : c’était bon ?
Lui : ça va ?
Lui : …
Lui : Tu dors ?
Zzzzzzzz !