Le blog de Clairemarc

J’ai mis la robe que tu aimes, de jolis collants, une belle paire d’escarpins … un trench …

Et me voilà à ta porte.

Je sonne … prise entre l’excitation et la peur de te revoir … ça fait tellement longtemps !

 Tu ‘m’ouvres… tu es en jeans et tee shirt, pieds nus.

 J’adore te voir comme ça je te trouve tellement virile comme ça !

 On se fait la bise, tu m’enlèves mon manteau et je sens ton regard sur moi.

 

 

 

Tu me proposes un verre …

Un rhum m’ira bien !

Le verre arrive, je me lève, je suis face à toi, à peine plus grande que toi avec les talons.

Tu as pris un verre aussi, on trinque.

Je ne sais pas si c’est le bruit des verres qui tapent ou mon cœur mais je suis toute perdue.

Tant de temps sans que tu me touches, sans que tu me vois nue. J’ai peur.

 

 

 

Je bois un coup, tu prends mon verre et le pose sur la table.

Tu t’approches, et caresses mes lèvres de ton pouce.

Il est encore temps de reculer …et partir… 

Mais ta main c’est déjà posée autour de ma taille.

Ta bouche s’approche de la mienne,

Je ferme les yeux …

Mais tu n’arrives pas …

Non, tu préfères humer mon parfum dans mon cou …

Tu m’attrapes un peu plus fermement et me retourne contre le mur.

Je suis dos à toi, les mains posées contre le mur avec ma robe et ces talons.

Je sais ce que tu veux regarder … alors je me cambre pour te laisser profiter de mes fesses.

 

Tu mates.

 

Et puis d’un coup je sens tes mains sur mes mollets , tu t’es mis à genoux et tes mains remontent doucement sur les collants.

 Que c’est bon … je tremble…

 Tu arrives jusqu’en haut de mes cuisses, là où je renferme mon intimité que tu aimes tant lécher.

 Tu te relèves, attrapes ma jupe et la bloque par-dessus ma taille.

 Je t’entends siffler.

 J’ai mis la culotte que tu aimes, celle avec la dentelle noire qui me fait un "cul d’enfer".

Je sens ta main … et puis cette première fessée qui tombe !

Le cri vient du plus profond de moi.

 

Je l’ai mérité ! des mois sans te donner de nouvelles … je savais que ça commencerait comme ça

Tes mains se baladent , toujours appuyée contre le mur j’attends ton accord pour me retourner et t’embrasser aussi sauvagement que possible.

Tu me demandes de ne pas bouger.

Je reste là dans la couloir, les mains posées contre le mur, les hanches et fesses en arrière prête à t’accueillir.

 

Tu reviens avec quelque chose qui brille entre tes doigts.

J’ai peur, que vas-tu faire ? 

Tu me retournes, tu es là face à moi des ciseaux à la main…

Il ne te faudra qu’une petite entaille qui fasse sauter l’intérieur de mon collant. 

Juste assez pour que tu puisse voir la culotte ouverte que tu aimes tant !

 

 

 

Cette fois , je sais ce qui va se passer … je le vois dans tes yeux … je vais jouir jusqu’à épuisement !

  Tu me colles contre le mur et passe une de mes jambes sur ton épaule, et ta langue se colle immédiatement sur mon con.

Tu m’aspires, je ne sais pas lequel de nous deux à le plus de plaisir…Je cris, me débat, mais rien à y faire le plaisir me saisit en

quelques secondes ! Tu me regardes avec ces yeux que j’aime tant et qui semblent dire : ce n’est pas fini !

 

Lui : va te mettre à l’aise. 

Je traverse la pièce, file dans la salle de bain me rafraichir.

Qu’elle n’est pas ma surprise de trouver une boite à mon nom poser sur le rebord de la baignoire.

Une belle boite, lourde avec un petit mot : Prends ton temps, je t’attends !

Je reconnais son écriture, mais que cela peut-il bien être ?

 

 

 

J’ouvre ce merveilleux écrin et découvrir un magnifique plug anal. Il est couleur argent, avec un bijou vert (assorti à mes yeux !).

 Je regarde mon visage dans le miroir et visualise assez bien la panique qui se lit sur ma tête …

 Avec une seule question : mais comment je mets ça ?

 

 Je me déshabille, examine longuement l’objet et découvrir un petit flacon de lubrifiant.(Il a vraiment pensé à tout !)

 Une douche plus tard, me voilà la jambe sur le rebord de la baignoire à tenter d’humidifier une zone difficile accessible…

 Mais que c’est gros ! mais que c’est lourd ! mais que c’est bon !

Le voilà au chaud … je calcule mentalement le nombre de pas qu’il me reste à faire pour gagner la chambre.

Allez avec un peu de chance, en 5 grands (très grands ) pas je suis sur le lit et le joujou ne tombe pas …

 

                                                           bijou-fesse.jpg

J’ouvre la porte de la salle de bain, l’appartement est plongé dans le noir. J’avance vers la chambre, m’installe sur le lit à 4 pattes et allume la lampe de chevet. Je sais que lorsque tu vas passer la porte tu seras heureux de me voir comme ça, les fesses ouvertes et relevées , le bijou bien en place. Je passe ma main entre mes cuisses pour renfoncer correctement le joujou,

Au retour mon doigt se glisse dans ma fente et je comprends vite … que j’aime ça !

Prise dans mes pensées, je ne me rends pas compte qu’en fait tu es là. Appuyé nonchalamment sur le mur. Tu me regardes.

Tu me regardes avec ton cadeau, tu regardes mes seins lourds pendre, tu regardes la cambrure de mon dos.

Tu t’approches , je sens que je perds pieds. 

 

De ta main fraiche, tu passes le long de mon corps, tu caresses habillement mes fesses, le creux de mes reins. Et tu pinces mes seins … tu donnes une tape sur la cuisse.

Et moi ? je mouille !

Et puis tu t’assois derrière moi. Je sens ton souffle à la hauteur de mon petit trou.

 Lui : oh ma chérie, depuis le temps que j’attendais ça. Le voir d’aussi près, aussi embelli par le joujou. Ce plug est comme une bague, temps que tu le porteras tu seras à moi.

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...A SUIVRE...

Sam 27 jun 2015 Aucun commentaire