Le blog de Clairemarc

Ne jamais porter de jupe avec toi en été …

Je le sais pourtant… je te connais par cœur …

Pourtant cette fois, je n’ai pas fait attention.

Petite jupe blanche, débardeur, string et soutien-gorge, me voilà parée pour une soirée salsa.

Je sais que tu aimes que je remue mes fesses devant toi, je sais que tu ne résistes pas à l’idée de plaquer ton torse contre ma poitrine.

Alors nous y voilà, il fait chaud dans le bar, la soirée est déjà bien commencée.

Les corps se touchent et se séparent au rythme de la musique.

Nous les rejoignons sur la piste et tu te colles à moi.

J’aime ton parfum, bois de santal … une odeur d’homme.

On commence à danser, tu plonges ton regard dans le mien, avant de le descendre entre mes seins.

Je sens ta main se refermer sur ma taille.

 

La musique continue … batachata, merengue … on danse , on rit …

La chaleur commence à nous emporter, je sens le bas de mon dos chauffer.

Tu me souffles à l’oreille : « Viens on va danser ailleurs ».

Pas le temps de réagir que nous sommes déjà hors du bar.

Nous ne sommes qu’à quelques dizaines de mètres de chez toi.

Nous rentrons à pieds par les petites rues sombres.

Tu marches à côté de moi, une main sur mes fesses.

Ou derrière moi et je sens ton regard sur ma croupe.

 

Puis tu me fais tourner dans une ru que je ne connais pas , très peu éclairée… encore quelques pas et tu me fais rentrer dans une entrée d’immeuble.

Ces vieux immeubles avec les grandes portes en bois, tellement présents dans le 6eme !

Là contre le mur froid, tu passes ta main sous ma jupe, écartes le string et passes ton doigt entre mes lèvres.

Je sais ce que tu cherches, et je sais aussi que tu vas le trouver.

Ton doigt revient entre nous, tu le lèches, en me regardant :

LUI : je savais que cette soirée te plaisait

ELLE : tu sais bien que j’aime danser

LUI : c’est que pour ça que tu es venue ce soir

ELLE : …………….non !

LUI : quitte ton string et ton soutien-gorge

 

Il me fallut quelques secondes pour prendre la mesure de ce qui m’attendait … Avais-je bien compris ? comme ça ? en pleine ville ?

Tu me connais assez pour savoir quand je panique, d’un simple coup d’œil, ou d’un simple baiser, tu arrives à me convaincre.

 

Me voilà donc repartie, cul nu, seins pointant sous mon top dans ces rues, que je ne verrais plus jamais de la même façon.

Tu marches à côté de moi, la main sur ma fesse, tu la pinces, la malaxe, la tapote gentiment.

Je me laisse faire à la fois, perdue, honteuse et excitée.

Puis on arrive dans une rue que je connais, on se rapproche de chez toi.

A chaque entrée de parking où d’immeuble tu me plaques contre le mur , je reçois tes doigts, ta langue.

Ta cuisse que tu bloques entre mes jambes … ton pantalon se colore de mon excitation.

Mes seins pointent à travers le top, pour les voir se balancer tu me fais marcher plus vite.

 

LUI : tu es belle, j’aime te voir ainsi

 

Le parking d’après c’est moi qui t’attire dedans, je n’en peux plus je veux te toucher, alors ni une, ni deux je glisse ma main dans ton patalon.

Je ne suis pas déçue, ta queue est déjà bien bandée et ton bout bien humide.

Après quelques secondes de caresses tu m’obliges à te lâcher.

 

LUI : sois patiente, je te laisserais le toucher une fois arriver

 

Je m’en lèche les lèvres d’avance.

Nous voici arrivés devant chez toi, je ne tiens plus.

Une fois dans l’ascenseur, je me jette sur ta braguette, je te veux dans ma bouche. Je ne tiens plus.

Mais une fois encore tu es as décidé autrement …

Tu me relèves, me plaque face contre mur et soulève ma jupe pour m’assigner une belle fessée.

Une de celles qui font crier de plaisir.

 

Les portes s’ouvrent, on avance jusqu’à ta porte.

Tu es derrière moi …

Je sens ta main qui relève ma jupe …

Ton doigt qui coulisse entre mes fesses.

Tu sais que tu n’auras pas besoin d’insister pour entrer …

Arriver devant ta porte j’attends que tu l’ouvres.

Mais tu préfères m’enfiler ton doigt dans le sexe, de dos.

Je me retrouve collée contre ta porte.

Tu tires sur mon haut, mes seins se posent sur le bois froid.

1,2,3,4 doigts, je dégouline, je n’en peux plus.

Tu me sommes de ne pas crier.

Mais je ne tiens plus.

Alors avec un coup de clé tu me délivres…

La porte s’ouvre … je rentre …

Et tu fermes la porte …

Mar 30 jun 2015 Aucun commentaire