Le blog de Clairemarc
L’avantage de vivre dans une petite ville c’est qu’on recroise facilement les mêmes personnes. Cette nana je l’ai déjà croisé à plusieurs soirées professionnelles, mais pas moyen de lui parler en tête à tête. Cette fois elle est là seule.. . Alors c’est l’occasion ou jamais !
Elle est petite, blonde avec des yeux verts amandes à tomber, son sourire est à faire pâlir le diable. Elle a la taille fine et de petits seins ronds. Son look plutôt causal chique détonne avec sa fonction d’agent immobilier.
Je m’avance avec 2 mojitos, car je sais que c’est sa boisson favorite, assise sur le canap, nous nous mettons à bavarder de son métier, de sa vie et aussi de sa compagne. Elle m’explique qu’elle n’était pas lesbienne avant de rencontrer sa compagne, que c’était un coup de cœur. Et qu’aujourd’hui elle ne fonctionne que comme ça.
De blabla en blabla et de verre en verre , elle m’explique qu’elle m’a repéré elle aussi il y a quelques temps, qu’elle a vu aussi qu’elle me plaisait, mais que je n’étais pas à l’aise pour l’aborder.
Je lui explique que je n’ai jamais fait ça avec une femme. Que ça m’a toujours attiré mais que je n’ai jamais osé franchir le pas … Mais que cette fois c’est différent au-delà du fantasme, elle me plait !
Elle me demande de la ramener chez elle, tant mieux, car inenvisageable de rester ici après ce que l’on vient de se dire et encore moins d’aller chez moi.
Une fois en bas de chez elle, elle me demande de monter : « boire un dernier verre » comme on dit… elle non, elle est cash : J’ai envie de toi. On monte.
Dans l’ascenseur elle est face à moi, je ne sais pas comment m’y prendre. A elle ? A moi ? De faire le premier pas ? Je n’ai pas le temps de trop réfléchir, elle s’approche de moi … Passe ses mains dans mon cou, laisse balader sa main sur mon visage et me regarde de ces yeux verts en me disant d’une voix douce : « maintenant c’est à toi de choisir la suite » ; Je ne me fais pas prier.
J’avance mon visage vers le sien, mon cœur bat la chamade. Je pose mes lèvres sur les siennes. Les yeux grands ouverts par peur qu’elle me repousse mais les siens sont fermés et je la sens fondre contre moi.
Que c’est doux, pas de barbe naissante, pas de mâchoire carrée. C’est doux, c’est tendre. Sa langue s’insinue doucement dans ma bouche. J’ai chaud. Elle ressert son étreinte. Mais déjà le « ting » de l’ascenseur résonne, il faut sortir de l’ascenseur.
Nous avançons jusqu’à sa porte, main dans la main, gênées sans se regarder. Elle glisse les clés, entre. Je panique, je ne la suis pas … elle me regarde, me souris : « Fais-moi confiance ! ». J’entre !
On se met à l’aise sur le canapé, on discute, on rigole, on joue.
Le temps file, il fait noir, elle me propose de rester dormir.
Elle me propose de prendre une douche et de me mettre à l’aise. J’ai beau prendre une douche fraîche, je reste bouillante de désir. Je la retrouve dans la chambre. Elle m’invite à la rejoindre sur le lit. M’embrasse, caresse ma peau nue. Je suis perdue. Elle m’allonge, me calme et m’accompagne dans les caresses. Je suis tremblante. Je n’ose pas. Elle me susurre à l’oreille qu’elle s’occupe de tout.
Me voilà partie dans un dédale de caresses, de baisers et de membres qui s'entrecroisent.
Elle mord mon cou, avale mes seins, griffe mon vente, pince mes fesses, attrape mes cuisses ... et lèche mon sexe.
Je fonds, je suis trempée.
Je crie son prénom, je veux qu'elle me pénètre, je veux la sentir plus proche. Me perdre avec elle.
Elle se glisse entre mes cuisses, pose une jambe de chaque côté de moi, de manière à ce que nous formions une croix.
Elle se met à frotter son sexe contre le mien, je sens ses lèvres s'ouvrirent , son clitoris durcir. Nos plaisirs se mêlent ...Je sens le plaisir qui monte, je ne peux pas me retenir de jouir ... Je crie dans ces bras prise de sursauts et de frissons...
Elle me sert fort contre elle m'embrasse. Mais malgré cet orgasme inexplicable, je ne suis pas rassasiée.
Je me jette sur son sexe. je le regarde, le caresse, l'ouvre. Je découvre, ses grosses lèvres, les petites et son trésor.
Je le cagole, et commence à l'embrasser, à le lécher ...
je la sens sous moi commencer à se tordre de plaisir. Je presse mes doigts contre son vagin, sans trop savoir comment m'y prendre.
Puis je la sens pousser sous moi, elle me demande, alors j'en rentre un, deux puis trois, ça ne lui suffit pas, 4 ! elle s'assoie sur ma main, je la sers fort contre moi.
elle avale ma main... et joui fort au creux de mon cou.
Usées par la fatigue et par la jouissance ... on s'endort dans les bras l'une de l'autre.