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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 20:18

On s’est rencontrés sur le net. Le courant passe bien. On se met à se fréquenter plus assidument.

Quelques échanges de baisers … de caresses … mais on ne va pas plus loin et ça nous suffit comme ça. Ça dure un an cette histoire, pendant un an, nous partageons régulièrement quelques heures … sans engagement. On discute, on rigole , on profite.

Et puis tu rencontres quelqu’un, moi aussi … alors nos échanges diminuent… mais nous restons en contact. Puis un jour de septembre, tu me proposes de passer boire un verre « parce qu’on ne s’est pas vu depuis longtemps ».

On s’installe sur le canap, et on commence à discuter comme si on s’était quitté la veille. Je te parle de ma nouvelle vie, avec ce nouveau chéri. Et des projets que je fais avec lui. Plus le temps passe et plus je sens ton regard lourd de sens sur mes seins ou ma bouche. Je calme le jeu en te rappelant que je suis avec quelqu’un maintenant et que je ne veux plus de ce jeu-là.

Mais déjà tu t’approches et tentes de m’embrasser. Je te repousse en t’expliquant qu’il veut mieux en rester là !

Je me lève, mais tu m’empêches de remettre mes chaussures, tu me plaques contre le mur et viens coller tes lèvres aux miennes. Je te repousse, mais semble-t-il pas assez fermement, car tu reviens à la charge. Cette fois c’est un non plus ferme qui s’empare de moi. Tu as l’air perdu … j’enfile mes chaussures et prends ma veste. J’arrive à la porte, tu la fermes à clés devant moi en jetant les clés à l’autre bout de la pièce, Je me précipite pour les ramasser, mais déjà tu me pousses sur le canapé.

Tu te jettes sur moi , m’embrasses, me lèches … Je me débats, je ne veux pas… je te le dis, je te le crie … mais rien à y faire. Tu passes ta main sur mes seins …sous mon pull. je te supplie d’arrêter ! Mais rien n’y fait ! tu commences à déboutonner mon pantalon …

LUI : aller laisse toi faire …

ELLE : non, lâche moi

LUI : j’adore quand tu dis non ça m’excite

ELLE : …

Prise de panique, je tape là où je peux … C’est un coup entre les cuisses qui te fera me lâcher … J’avance à la porte tremblante … en larmes ! Lorsque tu finis par m’ouvrir la porte…

 

 

LUI : t’es chiante tu ne sais pas ce que tu veux …

Par Choup
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Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 07:45

Ne jamais porter de jupe avec toi en été …

Je le sais pourtant… je te connais par cœur …

Pourtant cette fois, je n’ai pas fait attention.

Petite jupe blanche, débardeur, string et soutien-gorge, me voilà parée pour une soirée salsa.

Je sais que tu aimes que je remue mes fesses devant toi, je sais que tu ne résistes pas à l’idée de plaquer ton torse contre ma poitrine.

Alors nous y voilà, il fait chaud dans le bar, la soirée est déjà bien commencée.

Les corps se touchent et se séparent au rythme de la musique.

Nous les rejoignons sur la piste et tu te colles à moi.

J’aime ton parfum, bois de santal … une odeur d’homme.

On commence à danser, tu plonges ton regard dans le mien, avant de le descendre entre mes seins.

Je sens ta main se refermer sur ma taille.

 

La musique continue … batachata, merengue … on danse , on rit …

La chaleur commence à nous emporter, je sens le bas de mon dos chauffer.

Tu me souffles à l’oreille : « Viens on va danser ailleurs ».

Pas le temps de réagir que nous sommes déjà hors du bar.

Nous ne sommes qu’à quelques dizaines de mètres de chez toi.

Nous rentrons à pieds par les petites rues sombres.

Tu marches à côté de moi, une main sur mes fesses.

Ou derrière moi et je sens ton regard sur ma croupe.

 

Puis tu me fais tourner dans une ru que je ne connais pas , très peu éclairée… encore quelques pas et tu me fais rentrer dans une entrée d’immeuble.

Ces vieux immeubles avec les grandes portes en bois, tellement présents dans le 6eme !

Là contre le mur froid, tu passes ta main sous ma jupe, écartes le string et passes ton doigt entre mes lèvres.

Je sais ce que tu cherches, et je sais aussi que tu vas le trouver.

Ton doigt revient entre nous, tu le lèches, en me regardant :

LUI : je savais que cette soirée te plaisait

ELLE : tu sais bien que j’aime danser

LUI : c’est que pour ça que tu es venue ce soir

ELLE : …………….non !

LUI : quitte ton string et ton soutien-gorge

 

Il me fallut quelques secondes pour prendre la mesure de ce qui m’attendait … Avais-je bien compris ? comme ça ? en pleine ville ?

Tu me connais assez pour savoir quand je panique, d’un simple coup d’œil, ou d’un simple baiser, tu arrives à me convaincre.

 

Me voilà donc repartie, cul nu, seins pointant sous mon top dans ces rues, que je ne verrais plus jamais de la même façon.

Tu marches à côté de moi, la main sur ma fesse, tu la pinces, la malaxe, la tapote gentiment.

Je me laisse faire à la fois, perdue, honteuse et excitée.

Puis on arrive dans une rue que je connais, on se rapproche de chez toi.

A chaque entrée de parking où d’immeuble tu me plaques contre le mur , je reçois tes doigts, ta langue.

Ta cuisse que tu bloques entre mes jambes … ton pantalon se colore de mon excitation.

Mes seins pointent à travers le top, pour les voir se balancer tu me fais marcher plus vite.

 

LUI : tu es belle, j’aime te voir ainsi

 

Le parking d’après c’est moi qui t’attire dedans, je n’en peux plus je veux te toucher, alors ni une, ni deux je glisse ma main dans ton patalon.

Je ne suis pas déçue, ta queue est déjà bien bandée et ton bout bien humide.

Après quelques secondes de caresses tu m’obliges à te lâcher.

 

LUI : sois patiente, je te laisserais le toucher une fois arriver

 

Je m’en lèche les lèvres d’avance.

Nous voici arrivés devant chez toi, je ne tiens plus.

Une fois dans l’ascenseur, je me jette sur ta braguette, je te veux dans ma bouche. Je ne tiens plus.

Mais une fois encore tu es as décidé autrement …

Tu me relèves, me plaque face contre mur et soulève ma jupe pour m’assigner une belle fessée.

Une de celles qui font crier de plaisir.

 

Les portes s’ouvrent, on avance jusqu’à ta porte.

Tu es derrière moi …

Je sens ta main qui relève ma jupe …

Ton doigt qui coulisse entre mes fesses.

Tu sais que tu n’auras pas besoin d’insister pour entrer …

Arriver devant ta porte j’attends que tu l’ouvres.

Mais tu préfères m’enfiler ton doigt dans le sexe, de dos.

Je me retrouve collée contre ta porte.

Tu tires sur mon haut, mes seins se posent sur le bois froid.

1,2,3,4 doigts, je dégouline, je n’en peux plus.

Tu me sommes de ne pas crier.

Mais je ne tiens plus.

Alors avec un coup de clé tu me délivres…

La porte s’ouvre … je rentre …

Et tu fermes la porte …

Par Choup
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 20:12

Je l’ai rencontré lors d’une soirée chez des amis.

Pas franchement le style de mec que je fréquente habituellement …

Genre grand barbu avec long manteau de cuir, un peu gothique sur les bords …

Chez lui c’est un peu pareil , posters sombres, têtes de mort et autre image du même genre .

Soyons clairs, ça change de l’univers des affiches Aubade et calendrier Pirelli …

 

Mais il avait un côté « Bad Boy », on a accroché direct.

J’ai bien compris que ça ne serait pas l’homme de ma vie mais de quelques nuits.Le premier RDV passé … on finit chez lui … (ah ben oui maintenant que c’est clair, je vous passe les détails les moins drôles !)

 

J’arrive donc dans son appart aussi louche que lui …On s’installe sur le lit, mais en jeune femme prude que je suis : «Non je ne couche pas le premier soir ! » (A d’autres !!!)

C’est donc séance de papouilles gentillettes … le temps file … la nuit tombe et avec ça … le sommeil nous prend. On s’allonge donc , lui sur son lit, moi sur le canap … MAIS … car forcément il y a un mais (on est en début de page :). ) Ils sont collés l’un à l’autre … nous voilà donc en train de se toucher le bout des doigts.

 

Vous vous souvenez de la sensation que ça fait ?

Allez si rappelez-vous … au cinéma quand vous aviez 12 ans …

Elle veut ou elle veut pas ? si je lui touche le haut de la main tu crois qu’elle comprendra ?

 

Alors nous voilà parti à jouer à ça …

Mais quand t’es grand tu comprends vite que ça ne s’arrêtera pas à : « oui, elle veut sortir avec moi »

Alors un doigt, puis 2, puis 3 …. Mmmh (on parle toujours de caresses sur les mains là … !!!)

De la main… au bras… du Bras à l’épaule … de l’épaule …. A la cuisse !

Bref je l’ai rejoint …

 

 

 

Et là … et là … c’est … le drame !

 

Pourtant les échanges torrides que nous avions eu par SMS laissaient envisager des moments intenses …

Il était clair, précis … doux et fort à la fois … (on dirait une pub pour un nettoyant ménager !)

Ses messages étaient simples : il voulait m’emmancher jusqu’à la gare !

Ok donc allons-y !

 

 

 

Je vous dresse le tableau …

 

Nous sommes dans un lit … seule une petite bougie éclaire la pièce… une musique douce (Ramstein ?) en fond sonore …

Lui … moi … nus …

 

 

Et puis … il y a ce premier mouvement de ma main qui caresse le drap et se rencontre qu’il est plus rêche qu’une serviette de toilette mal séchée,

Ce second mouvement qui consiste à me retourner (pour me faire caresser le dos) et qui me met la tete dans le coussin … qui sent … le linge infusé dans la machine à laver !

3ème mouvement , poser ma main sur ses fesses … et avoir l’impression de toucher une éponge spontex.

Là , ça y est ? le tableau est dressé ?

 

 

 

Je continue mes découvertes plus décevante les unes que les autres …mais ses messages étaient tellement intéressants que je me suis dit que ça s’améliorait , alors je me suis laissée faire …Sa langue aussi rugueuse que du papier de verre … ses doigts aussi habiles que moi dans un magasin de porcelaine …

Je prends ma voix la plus coquine :

- Je n’en peux plus … prends moi …

Le message est passé … je le vois se lever …

Me laisser sur le lit … (bon, je vous rassure, je me suis occupée)

Et je l’entends gratter dans la salle de bain, portes qui claquent, grognements, gros mots , boites qui tombent… tout y passe !

Puis un bruit que je reconnais … un sachet qui s’ouvre … du latex qui se déplie …

Je m’installe … face à lui … je lui propose pour bien le mettre en forme un petit « show » …

 En gros cuisses ouvertes , une main qui se balade en haut et une main en bas … et hop le tour est joué il n’en peut plus !

Il s’avance … le lit grince… il se positionne …

Je suis pleine d’espérances …il s’allonge sur moi … m’embrasse…

 Bouge sur moi … je ne tiens plus …

Je le veux …

Je lui dis …

ELLE : oh oui vas-y prends moi …

Lui : oh oui t’aimes ça

ELLE : Oui Oui vas-y enfonce toi

Lui : encore ? mais je suis au max là !

Elle : …

 

C’est ainsi que j’ai découvert qu’on pouvait avoir des pieds long de 4 mètres mais un knaki à la place du sexe.

 

Il m’a donc pilonné … pendant un temps qui m’a paru durer une éternité ...Si fort … et si chiant … que je me suis endormie …

Oui mesdames, on peut !!! c’est arrivé une fois …

Mais j’ia du faire ça bien, car il a cru que j’étais au bord de l’orgasme …

 

Il a joui

M’est tombé dessus

Et s’est endormi …

 

 

 

Après ça je me suis promise que je ne jugerais pas un mec qu’à sa capacité de m’exciter par SMS

Par choup
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Lundi 1 juin 1 01 /06 /Juin 20:03

On avait attendu tellement de temps ce moment-là…
Se retrouver tous les 2, loin de tout…et de tous.
C’est dans un parc qu’on s’est retrouvé.

Dès le premier regard, j’ai su que j’avais envie de lui.
Que mon sexe ne résisterait pas à l’envie de l’avaler.

On s’est assis, on a discuté de tout … de lui, de moi, de nos vies.
Je mangeais chacun de ses mots, chacun de ses gestes…
Il a commencé à m’enlever un bout d’herbe qui était sur ma cuisse.
Le geste furtif m’a provoqué un frisson…
Lorsque je suis excitée mes yeux changent de couleur… Il me connait par cœur…
Il posait une main sur mon mollet, juste pour caresser ma peau.
Je ne tiens plus … Je me calle entre ses bras.

Il est dans mon dos,
Ses mains sur mon ventre, sa langue dans mon cou.
Je sens ses baisers, chauds,
Mon cou … mes épaules…
J’ai 12 ans et demi …

Le temps file …
Il me touche les seins …les attrape à pleine mains.
Me dit qu’il est à l’étroit dans son pantalon.

Je mouille.

On se lève, on se regarde … si j’étais nue, il n’aurait qu’à me prendre, là, d’un coup sec.
On se prend dans les bras, fort !
Il m’attrape le visage. M’embrasse. Un baiser si doux, si fort mais tellement plein de promesses…
Sa main se balade dans mon dos , descend … mes fesses, mes cuisses.
Je fonds.
Je le veux … LUI !

Mais notre RDV doit s’arrêter là …

Par Chou^p
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Lundi 1 juin 1 01 /06 /Juin 20:00

Je partais pour un week end entre copines à l’autre bout de la France, Loulou, content que je parte, ne voulait pas que je parte sans avoir un souvenir digne de lui … Qui ne me fasse pas oublier que j’étais bien à lui et qu’il m’attendait le pied ferme.

Je sors de la salle de bain toute pimpante prête à prendre la route et le voilà qui m’interpelle dans le couloir,
A peine le temps de dire ouf, que me voilà allongée … et lui la tête entre mes cuisses. Il sait que je suis extrêmement sensible de cet endroit et que mon bouton peut vite devenir une source de cris de plaisir.
Il s’y attarde, tournant autour, le caressant de ses doigts experts… Je ne peux pas simuler avec lui, car il lui suffit de descendre son doigt plus bas pour voir l’effet que ça me fait.

Trop fier de lui, il m’invite à participer, en écartant mes lèvres moi-même afin qu’il puisse me voir, et apprécier les sensations qu’il me procure. Je suis sensible aux mots coquins, voir cochons pendant l’acte, le
voici donc en train de me demander si j’aime ça … si j’en veux encore, si je sais à quel point je suis mouillée …
Je ne peux répondre qu’avec des soupirs tellement sa langue et ses doigts me rendent folle.

Le moment tant espéré arrive, il se redresse, revient vers moi et me dit qu’il ne me prendra pas de sa merveilleuse queue mais uniquement de ses doigts…
Frustrée je lui dit que je veux plus …
Mais rien à  faire , il redescend vers ce qu’on appelle entre nous la salle de jeu…
Il m’ouvre, m’écarte, vérifie que je suis prête à l’accueillir et le voilà qui enfonce, un doigt … je crie, me débat,  tellement ce petit bout de lui me fait fondre.
Dans un mouvement de hanches, il m’enfonce le second.

Persuadée qu’il va s’arrêter là , je me calme, cesse de bouger, c’est à ce moment-là qu’il se met à me masser l’intérieur, au rythme de mes soupirs afin de trouver l’endroit qui me fera le plus de bien.
Une fois encore il ajoute sa langue … il ne me faudra que quelques secondes pour crier son nom et me perdre dans les méandres du plaisir 

Le temps de me remettre, il me prépare mes vêtements pour partir … un jeans, un top et en guise de sous-vêtements un soutien-gorge en dentelle et une culotte minimaliste qui ne sera là que pour me rappeler le bien qu’il m’a fait.

Je m’habille prestement, au moment de quitter la maison, il m’attrape me plaque contre la porte et me rappelle tendrement que je suis à lui et que dimanche soir il me veut aussi offerte et humide que ce soir .

Le week end va être long !

Par Choup
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recitsdechoup

 
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