Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 15:42

Cela faisait des jours, des semaines, des mois qu’on espérait, qu’on attendait ce moment-là !  

Des jours qu’on s’envoyait des messages enflammés qui détaillaient point par point ce qu’on voulait se faire … des soirées à faire l’amour par messages interposés. A jouir dans le bain en imaginant ses doigts et sa langue, des nuits à espérer que mon envie se concrétise…

Et puis il y a eu ce week end !

 

LUI : Coucou, je suis la vendredi et samedi, on peut se voir ?

ELLE : oui !

LUI : par contre je suis avec un collègue donc discrétion oblige !

ELLE : c’est toujours mieux que rien !

 

Le RDV est donné … vendredi, je passe les récupérer à leur hôtel et je fais visiter le coin ! Après tout rien de mieux que quelqu’un d’ici pour faire découvrir les beautés de la région, non ?

 

ELLE : je suis sur le parking

LUI : on arrive !

 

1 an ! 1 an sans se voir, 1 an sans se toucher, 1 an sans se sentir !

La veille des tonnes de doutes m’ont envahi ! Et si… je n’étais plus à son goût, et si on ne se désirait plus, et si la flamme était éteinte …

Ils sont sortis … je les ai vu face à moi ; Enfin je l’ai vu … LUI !

Il m’a souri et l’effet a été immédiat !

J’ai senti cette boule, de chaleur, de douceur, irradier au plus profond de mon être, à chaque pas qui le rapprochait de moi je voyais une scène de sexe qu’on avait vécu...

Me faire baiser contre un mur, me faire masser l'entre cuisse, me faire lécher goulûment... Mais aussi toute la tendresse qu’il savait mettre dans nos échanges. Ses baisers dans le cou qui me faisaient fondre, sa main qui remontait le long de ma jambe pour se caler derrière ma fesse et l’empoigner …

 

Nous sommes montés dans la voiture et hop direction les grandes plaines ! Le trajet se passe dans une ambiance étrange … des échanges sur la région, sur leur séjour, je tente de m’intéresser mais l’objet de mon désir se tenant sur le fauteuil passager j’ai du mal à suivre!

Ma voiture est puissante, je fixe la route et fais vrombir le moteur à chaque frisson qui me parcours … Nous alignons les kilomètres.

Nous arrivons dans une cité médiévale magnifique, avec son quota de vieilles pierres, de petites boutiques et de passages souterrains….

 

Même s’il tente de manière un peu cafouilleuse de se débarrasser de son collègue afin que l’on se retrouve seul, impossible ! C’est là que commença un jeu au combien excitant : la chasse !

Ou comment se chercher, se courir après, se frôler, se toucher, s’allumer sans jamais se faire pincer !

 

Passer l’un à côté de l’autre, se détailler du regard, une main dans le dos, se toucher les doigts lorsqu’on ouvre la porte, attendre un ascenseur avec lui dans mon dos. Finalement la tentation est là ! bien présente ! Le premier vrai contact a eu lieu au restaurant. Nous avons profité de la courte absence de son collègue pour échanger un baiser dans le cou ! WAH !

Oui j’en vois déjà dire … eh ben … si c’est ça son week end sensuel ça ne vole pas bien haut …tenez bon !

 

Ce bisou a lancé les hostilités ! Cette fois, plus de « peut-être qu’il m’a frôlé par  inadvertance, peut-être qu’il louchait et qu’il regardait derrière moi, peut-être qu’il ne regardait pas mes fesses et  mais une tâche sur mon dos …. » ! Il veut ... Je veux .... Nous voulons ! Arrivés au restaurant, il suffira de sa main, ferme, sur ma cuisse pour confirmer son désir… alors au moment de se quitter … qu’il est difficile de partir !  Sa bise insistante et sa main sur ma fesse n’ont fait qu’accentuer mon envie de me faire prendre, là maintenant … de suite !

 

Il faudra attendre une nuit …. Une nuit de plus à ronger mon frein, à me caresser frénétiquement dans l’espoir que ses doigts que j’enfonce en moi soient les siens... que ce joujou soit remplacé par sa merveilleuse longue et belle queue...

 

Je tente de passer  la journée à m’occuper l’esprit … tout est bon … lecture, TV, ballade …. Rien à y faire ! Mon esprit est resté bloqué sur LUI ;  sur son cou, ses mains, sa bouche, ses fesses … et sur son bas ventre …  Je me bichonne avant d’aller au rdv, même si d’extérieur il me faut une tenue sobre … mes dessous sont à l’image de mon envie coquins et chauds ! Ensemble de dentelle noire, épilation, crème pour le corps … tout y passe ! le tout couvert d’un parfum qu’il aime ! Un point de rouge à lèvres et hop en route !

                                                          chemisier_sur-un-parking.jpg

Lorsque je me gare sur le parking de l’hôtel, c’est une tigresse qui sort de la voiture !

LUI : chambre 135 !

 

Chaque marche est une incitation à la débauche, chaque frisson ne fait que faire grandir la flamme qui me consume… Je me vois déjà , frapper à la porte , me poser contre le tour de porte avec des yeux de biche … en disant « c’est quand tu veux ! » …  « Prends-moi ! » …. « Je suis à toi ! » … « La nuit est à nous… » Ou quelque chose comme ça !

 

Mais lorsque la porte s’ouvre tous mes espoirs se brisent !

Dans la chambre il n’est pas seul ! Il la partage avec son collègue !

 

LUI : restriction budgétaire !

Je maudis son entreprise !!!!

 

J’attends qu’ils finissent de se préparer en fulminant !

Je suis odieuse … tellement vexée et frustrée … comme si on m’avait fait un coup de travers ! Alors qu’il n’avait rien promis, rien dit … il voulait juste qu’on se voit ! Mais qu’ai-je cru ?

Ma conscience se pause  sur mon épaule droite et me dit :

 CONSCIENCE DE DROITE : c’est mieux comme ça ! De toutes façons tu n’es pas bonne les premières fois, il n’aurait pas aimé ton corps, tu n’as pas été assez claire dans tes intentions …

 

Puis ma conscience de gauche apparaît avec un discours beaucoup plus … tranchée !

 CONSCIENCE DE GAUCHE : fais lui regretter de ne pas avoir poussé pour avoir une chambre seul, fais lui regretter de ne pas être venu seul, fais lui regretter les fois où il t’a posé un lapin !

 

Nous descendons au restaurant, son collègue a beau s’absenter de la table régulièrement, je suis froide, distante. Il me regarde avec insistance, me demande si ça va…je lui glisse :

ELLE : je voulais passer la nuit avec toi !

 

Je vois dans ses yeux la déception, oui il l’avait envisagé, oui il l’avait espéré mais …la difficulté de justifier, la peur que ça n’arrive pas …SA conscience avait tranché pour nous !

 

Un repas plus tard, je me détends et me rends compte que ce n’est pas parce qu’on ne peut pas concrétiser qu’on est obligé de s’éviter . Je sens sous la table sa première caresse ! Je me dis que ce contre temps ne représente en rien son envie !  Alors je me laisse porter... pendant des heures... ses regards, ses mains dans mon dos, une caresse (légère) sur les fesses !  Moi j ai moins de retenue ! Et surtout rien à perdre... alors les mains aux fesses sont explicites, mes regards sont plein de désirs, ma bouche exprime clairement l'envie de sucer sa queue.  Il commence à se prendre au jeu...Mais avec plus de finesse ... Je ne sais plus qui est la proie, qui est le chasseur ... tout se mélange.

 

Lorsque l'occasion se présente au hasard d'une rue, ombragée, à l'abri des regards... Il m'attrape le bras, me force à me retourner ... Sa bouche approche de la mienne. C'est un simple "smack" comme disent les jeunes. Un de ces bisous que n'importe qui peut faire un n'importe qui ... Mais pour nous ... c'était tout ! 

 

Le jeu a continué, lascivement ... il fallait jouer avec l'ombre des luminaires pour ne pas se faire repérer , attendre que son collègue regarde ailleurs pour tenter de s'embrasser. Des heures à s'allumer, à jouer, à s'approcher pour s'embrasser et à se détourner à la dernière minute parce qu'on nous parlait. 

 

Puis nous nous sommes assis pour assister à un spectacle . Cette fois je voulais clairement marquer mon intention ! Pas question qu'il reparte en croyant que c'était une vague envie ! Non ! C'était de lui dont j'avais envie ... de son corps, de ses mains, de sa bouche ...  Assis côte à côte on regardait le spectacle ... j'ai pris sa main pour qu'il profite à travers mon haut de mon charmant soutient gorge de dentelle ... je savais que ça le ferait rager de sentir ce qu'il loupait ... Et puis , avec mon plus beau regard d'ange ... je me suis penchée pour ramasser la bouteille d'eau posée à ses pieds ... ma main a pris le temps de remonter le long de sa jambe et de passer de manière rapide mais appuyée sur son membre. Juste le temps de le sentir ... durcir !

 

Inutile de vous dire qu'après ce moment les cartes étaient redistribuées et que cette fois au diable les convenances, toutes occasions pour m’embrasser étaient bonnes à prendre, que les caresses sur mes fesses n'étaient pas de simples passages rapides mais prenaient bien le temps de marquer son territoire !

 

Il est temps de rentrer à l’hôtel, sur le chemin je lui souffle : "je n'en peux plus ! j'ai envie de toi !" ... je sais que l'envie est réciproque ... Mais comment ????????

 

Je les redépose devant l’hôtel et nos chemins se séparent ... avec une frustration inexplicable !

Je n'ai pas fait le tour du pâté de maison que je reçois un SMS :

LUI : Je redescends !

 

j'attends donc sagement son retour ... il est là en face de moi ... Les 3 pas qui me séparent de lui déclencheront les hostilités. Finalement est ce que ce n'était pas plus simple de continuer de jouer ?? est ce j'ai vraiment envie d'aller plus loin ? je n'ai pas le temps de réfléchir que déjà sa bouche se colle à la mienne. Sa langue passe lentement sur mes lèvres pour me forcer à les ouvrir. Il me sert fort et je sens son mât se dresser dans son short. Il y a du monde et rapidement on se rend compte qu'on est épié. On décide donc de s'éloigner ...

 

Une petite rue, un capot de voiture et nous voilà à nous embrasser comme deux gamins. Le coeur qui bat la chamade. les doigts qui ne savent pas où se poser ! mais rapidement ce sont bien deux adultes (consentants !) qui sont l'un en face de l'autre. Dans ses yeux, je vois le désir qui le taraude.

 

LUI : j'ai envie de te baiser

ELLE : j'ai envie que tu me fasses crier !

                                          chemisier2_sur-un-parking.jpg

les caresses sont décousues et pas appliquées, cela fait tellement longtemps.

Pourtant quand il empoigne mon sein, ce dernier durci immédiatement. Moi qui ai tant perdu en libido me voilà comme une chatte en chaleur. Il ouvre mon chemisier, pour caresser la peau blanche du haut de mon sein. Le contraste est saisissant entre mon chemisier noir comme l’ébène, ma peau blanche comme la neige et nos joues rouges de désir.

Il s'est mis à descendre doucement ses doigts sous la dentelle, de manière à faire le tour de mon mamelon gonflé par le désir et par l'envie. Il a rapidement trouvé le bout ... lorsqu'il le prend entre ses doigts il est tendu mais en le tirant et le tordant, il le rend à la limite entre la douleur et le plaisir. Plus, il me fait pointer, plus je sens mon sexe fondre. A chaque mouvement de ses doigts sur mon sein, ma dentelle se remplie de plaisir. Embêtés par mon soutien gorge, je plante mes yeux dans les siens et dans un mouvement presque rapide et presque sexy je dégrafe et fait glisser la pièce de tissus de manière à être libre de tout ressentir ! Ma poitrine se ballade sous mon chemisier, à moitié ouvert. Je la vois pointer à travers le tissu. Lorsqu'il se jette dessus à pleine main je ne peux que hurler mon plaisir au creux de son cou. 

J'aimerais être ailleurs ... dans un endroit où je pourrais être nue contre lui... où on pourrait jouir ensemble ! 

ELLE : si tu savais ce que je porte en bas ... un magnifique boxer de dentelle ...

LUI : Tu me rends fou !

ELLE : Ah oui ?! attends tu n'as encore rien vu !

Persuadée que je maîtrise encore cet échange, je décide d'ouvrir mon jeans face à lui, défaire la ceinture en passant ma langue sur mes lèvres, défaire le bouton en lui caressant du bout des doigts les lèvres , descendre la fermeture éclair en enfonçant son doigt dans ma bouche. Son érection déborde de son short, je la vois, je la sens ! Je prends sa main et décide de lui faire toucher du bout des doigts ce qu'il manque ... Mais ... Mais c'était sans compter que je ne maîtrise rien et que finalement ... c'est lui qui décide ! alors de sa main experte, il trouve facilement par dessus ma dentelle, mon bouton magique ! en un tour de doigt, il le fait sortir de son capuchon, (remarque, n’était il pas déjà sorti avec l'excitation ?) , la dentelle serrée ne fait qu'augmenter le plaisir et la sensation de me perdre dans les abîmes du plaisir .

 

Il appuie, caresse, tourne autour, tapote ...Nous sommes au milieu du parking, à l’affût de chaque voiture qui tourne ou entre dans le parking. Je me retrouve coincée contre le pare choc, trempée, avec une respiration saccadée par le plaisir et l'excitation. Je sais qu'il veut enfoncer son doigt mais on ne peut pas ... pas là ! Mais rien ne l’arrête , il descend et son doigt fait des va et vient, la dentelle entre en moi...     ça brûle, c'est excitant.

 

Il remonte sur mon clitoris, ses gestes sont devenus sûrs et appliqués.De son autre main il alterne entre me tenir pour que je ne tombe pas et mon sein qui ne fait que grossir encore et encore. Je me cache dans son cou car je sais ... je sens que le plaisir monte. Je sens que mon petit boxer de dentelle n'est plus qu'une vulgaire éponge à plaisir, que mes seins ne sont plus que des zones de douleur excitante. Je ne vois plus les voitures, je ne pense plus aux gens qui passent, je veux juste jouir ... oui jouir.

 

ELLE : je ne tiens plus, ça vient !

LUI : Oh oui ! Laisse toi aller !

et me voilà sous la lune presque pleine, a crier mon plaisir d'une voix sourde dans les bras de mon amant, sur un vulgaire parking d'hôtel.

 

Le constat est sans appel ... J'aime le sexe ... j'aime le sexe fort et dangereux ! et je n'attends qu'une chose ... remettre ça ... au plus vite , avec lui ?

 

 

 

 

 

Par Choup
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Samedi 4 juin 6 04 /06 /Juin 15:52

Ah ... la provocation !

c'est tellement bon d'allumer son amant lorsqu'il ne peut pas vour répondre, au cours d'un diner, d'une réunion, d'un trajet ... J'adore ça !

Mais je me suis fait prendre à mon propre jeu.

Voici les SMS que j'ai reçu de mon amant en réponse à mes premiers envois la veille ...

La vengeance est un plat qui se mange froid !

 

LUI : 

J’ai envie de toi ! Je te vois assise en face de moi, en jupe avec des collants mais sans culotte. L’ouverture de tes cuisses est lascive et claire, tu as envie de me montrer … de m’exciter !

Ah sacrée petite coquine !

Tu te lèves, je te suis … Dans le couloir je mate ton cul qui ondule sous ta jupe. Tes talons te font des longues jambes comme j’aime. Tu portes un chemisier, ça fait très BCBG. J’aime ce style que tu portes peu … et tu le sais ! Hein, ma petite chienne ?!

Arrivés dans un couloir tu remontes ta jupe pour que je puisse mater pleinement ta croupe. Tu cambres bien les reins pour que je puisse profiter de la vue. Tu t’arrêtes devant une porte …

Tu m’invites à entrer dans une sorte de placard, un débarras. C’est là, au milieu de tout ce fouillis que je vais te baiser ma coquine, oh oui ! Continue de m’allumer, ondule des hanches sous mes mains, continue, tu ne perds rien pour attendre.

Mais apparemment tu en as décidé autrement ! Je t’entends déchirer ton collant, tu attrapes ma tête et colle ma bouche à ton con sans ménagement. Tu mouilles déjà. Je me délecte de ton goût. Je bois ta mouille abondante.

Tu en avais envie depuis longtemps, ça se sent ma cochonne.

Adossée aux balais et autres accessoires de ménage, tu ondules des hanches au rythme de mes coups de langue. Je sens ton clitoris durcir, je le sors de son enveloppe pour en profiter pleinement, j’aime le moment où il se décapsule car il te fait sortir un cri de bête blessée. Ce cri qui laisse présager que si je descends mon doigt quelques centimètres plus bas, je trouverais ce que je cherche, cette petite goute de mouille …

Mais je n’en ai pas le temps, tu me susurres … non que dis-je … tu me demandes clairement : « titille-moi le cul, s’il te plaît. J’en ai tellement envie ! » Comment dire non à une telle demande ?

Je me fraye un passage à ton magnifique trou du cul à travers le collant. Quel plaisir d’entendre les mailles qui craquent sur le passage de ma main.  

Quand mes deux doigts rencontrent ton anus, il s’ouvre tout seul sans avoir à le pousser. Quel plaisir de te sentir aussi ouverte, aussi demandeuse. Quand ils te pénètrent, tu gémis en plaquant un peu plus ma tête contre ton sexe dégoulinant de mouille.

Mes doigts qui glissent dans ton derrière, ma langue qui s’impatiente sur ton clitoris…. Le mélange est savoureux et te fait pousser des cris de plaisir. Je te vois chercher à prendre appui sur tout ce qui te passe sous la main. Me voilà avec une serpillière sur la tête… Tu ris !

Les spasmes que ton rire déclenche est merveilleux, je sens ton sexe s’ouvrir un peu plus et ton cul se serrer sur mes doigts. Tu me supplies d’accélérer.

Au bord du débordement tu appuies sur ma tête pour que ta chatte soit complètement engloutie dans ma bouche et tu te saisis de mon poignet pour enfoncer mes doigts dans les profondeurs de ton anus dilaté.

Ce dernier mouvement t’arrache un cri, tes jambes se dérobent sous toi. La jouissance explose, dans ton cul, dans ton ventre, dans ta tête. Sans force, tu glisses le long du mur jusqu’à ce que ta bouche rencontre la mienne. Tu m’embrasses à pleine bouche. Nous partageons ton goût et ta mouille restée collée à mes lèvres.

Je suis très excité, je te glisse un suce moi !

                                               Décolté

 

ELLE  : non mais ça ne va pas bien ! Mon portable vibre en continue on croirait que j’ai eu un appel ! Et puis c’est malin maintenant je suis toute excitée … pfff ! Je suis toute mouillée. En rentrant je vais me jeter sur mes joujoux et crier tellement fort que tu l’entendras de chez toi !

 

 

 

 

 

Par Choup
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Vendredi 3 juin 5 03 /06 /Juin 18:42

Il y a des histoires qui se vivent et d'autres qui s'écrivent ...

Aujourd'hui c'est je penche pour la seconde version ... parce qu'on ne se voit pas que seuls nos SMS nous permettent de combattre la distance, le désir qui nous consume et l'envie qui nous fait espérer.

Ce soir, je veux vous faire partager l'un de nos échanges ... celui d'un homme et d'une femme qui ne se voient plus mais qui partage le désir fou de se retrouver dans un lit sans contraintes avec juste l'envie de baiser ... tendrement, fougueusement, follement .... amoureusement ?!

Récit ...

Elle : Est-ce que je peux t envoyer des SMS ou ça sera trop délicat ?

Lui : Non au contraire j'adorerais !

Elle : Parfait … alors …

Je me vois bien chez toi, en train de me préparer pour sortir avec toi... Te demander de choisir ma lingerie... Afin que tu y penses toute la soirée... Tu choisirais un ensemble en dentelle quelque chose d’un peu classe genre dentelle... Noire ou rouge.

Quelque chose qui ne se voit pas sous les vêtements mais qui se sent quand tu passeras la main sur mes fesses comme un pantalon noir en toile et un haut un peu fluide avec un décolleté.

Passer la soirée à échanger avec les gens tout en ayant des regards l’un pour l’autre ou des gestes tendres. Et ton œil occasionnellement dans mon décolleté ou sur mes fesses... A un moment de la soirée te faire un clin d’œil pour que tu me rejoignes aux toilettes... Juste pour...

Un / que je te laisse glisser un doigt sur ma fente pour que tu en goutes le jus

2/ que je mette deux coups de langue sur ton mat qui est à l’étroit dans ton jeans

Et finir la soirée à te faire languir de l’autre côté de la table

 

Lui : Mmm très beau programme

 

Elle : Une fois la soirée terminée, marcher tranquillement jusqu'au parking... Main dans la main... La tête au creux de ton épaule. A susurrer des mots coquins... Voire cochons...

Du genre, que j’ai envie de toi. Que j’ai envie de sentir ton glaive au fond de moi. Que j’ai envie de trembler, de mouiller, de te supplier de me prendre... Parce que j’aime ça, parce que je ne suis bien que sous tes doigts parce que tu es l’amant le plus merveilleux que je connaisse.

Je suis quasiment sûre qu’avant d’arriver au parking... Tu auras fait durcir mes seins en passant ta main dessus sous mon manteau et que ma culotte de dentelle ne sera plus qu’un vulgaire bout de tissu trempé.

On monte dans la voiture... Direction la maison... Mais histoire de te provoquer et de m’exciter un peu plus... Je quitte mon pantalon pour pouvoir retirer ma culotte... Comme ça au milieu des autres voitures.

Et histoire de pousser au maximum la provocation... Je glisse ma culotte dans ta poche.

C’est ainsi qu’on arrive avec ton érection et mon cul nu... Je sais que tu auras du mal à tenir alors je te propose de s’y atteler dès le sas du garage...

Avec pourquoi pas quelques caresses par-dessus les vêtements... Pourquoi ne pas me faire arracher mon soutien-gorge afin que tu vois mes seins se balancer sous mon top ? Que juste grâce à tes yeux ils durcissent... Et que dans un élan de gêne je te dise : Non... On rentre... !

Vexé que tu me colles au mur avec une bonne fessée parce que tu sais que si tu me tiens... Je suis prête à tout !

Une fois la fessée passée et mes esprits de nouveau avec toi... Demande-moi de te sucer... Demande-moi de me mettre à genoux devant toi... D’ouvrir la bouche et d’attendre !

Et j’attendrais... Que tu ouvres ta braguette... Que tu ouvres ton caleçon... Que tu sortes ta magnifique bite, majestueuse, longue, dure et belle. Que tu m’attrapes la tête et que comme si tu t’enfonçais en moi... Tu me baises la bouche !

Oh oui... Au milieu du couloir... Que je sois à toi... Petit à petit que je ne sois plus que ton amante... Un sexe, une bouche... Un désir... Une envie... Une soif de sexe !

Baise-moi la bouche... Fort... Je veux avoir la sensation de m’étouffer... Je veux avaler ta bite... Pas juste la sucer... Je veux la sentir au fond de ma gorge. Je veux me transformer en cochonne... Dépasser le stade de la coquine...

Une fois que je t’aurais bien sucé... Je veux me mettre nue... Devant toi... Au milieu de ce couloir pour te montrer à quel point je suis à toi. A quel point je veux me donner à toi.

Je vais te présenter mon con, l’ouvrir... Glisser un doit sur la fente jusqu'à la source... Retirer une goutte et te faire lécher mon doigt. Ensuite reprendre une goutte cette fois pour la mettre sur mes seins

Mais une voiture se gare. Il est temps de mettre mon manteau sans rien dessous.

On prend les escaliers pour que tu puisses mater à ta guise mon cul.... Et que tu puisses facilement me demander de m’arrêter pour que je sois à 4 pattes et au vue des escaliers ça doit être idéal pour un coup de langue, une fessée ou un doigt !

Arrivé’ à ton étage, je me vois bien faire les quelques derniers mètres nue... Juste avec l’excitation de se faire prendre en flagrant délit.

J’attends que tu ouvres la porte... Nue, tremblante, excitée, humide... Hors de question que tu vois la mouille couler le long de mes cuisses... Tu me fais ouvrir les jambes... J’obéis ! Parce que j’aime ça .. Je t’aime !

Tu ouvres... Je suis nue... Chez toi... Soumise... Ouverte... Offerte... Excitée... Conquise...Tremblante...

Et suppliante de me faire baiser !

 

Lui : Et tu vas devoir passer par toutes mes volontés !

Elle : OUI !

Oui ! Je veux baiser ! Je veux me faire baiser ! Je veux être sans limite, être écartelée, je veux sentir mes trous s’ouvrir, je veux hurler que j’aime le cul... Que je ne peux vivre qu’avec ta bite. Que c’est elle qui me rend heureuse. Que je veux être possédée, être malmenée. Je veux être dégoulinante. Je veux n’être une chienne en chaleur. Je veux te servir nue... Je veux être à ta merci... Je veux aller te chercher à boire, je veux prendre des poses suggestives, je veux être vulgaire.

Oui... Je veux que tu vois ma mouille couler... Que tu me demandes de la faire couler... Je veux m’asseoir sur ta table, nue et te laisser me regarder... Me toucher !

Je veux que tu m’ouvres, que tu me fouilles, qu’on aille dans la cuisine et qu’on joue... Qu’on joue à ce qui rentre ou pas... Je veux sortir des sentiers battus... Je veux être une chienne... Je veux que plus jamais tu ne regardes ta cuisine de la même manière !

Une fois qu’on aura essayé une partie de ta cuisine je veux aller au lit et t attendre... Autant de temps que tu le souhaites... Je veux pouvoir perdre le sens du temps... Je veux pouvoir te désirer à en pleurer... Je veux attendre que tu décides... Je veux que tu me commandes... Que tu sois mon seul objectif ! Je veux t attendre... T’appeler... Te supplier... Et te voir arriver...

Et là une fois dans ton lit...

La suite au prochain épisode...

 a-deux-mains-copie-1.JPG

Lui : … tu te moques de moi ?! Tu ne vas pas me laisser comme ça … pas là maintenant … Non …

Réponds-moi …

Allez … je veux t’entendre jouir …

Dis-moi encore …

 

.

Par Choup
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Vendredi 30 octobre 5 30 /10 /Oct 21:40

Je sais ce qu’il y a dans cette boite ça fait des mois qu’il m’en parle. Ce n’est donc pas une surprise de trouver dans cette boite un œuf vibrant.

Ce que je n’avais pas prévu c’est qu’il n’y a pas la télécommande mais à la place un petit mot

«  À porter ce soir avec ton body noir, sous une robe »

Le challenge est lancé ! Pourquoi ce soir ? Car nous allons manger chez des amis et je sais que l’idée de me rendre folle toute la nuit t’excite depuis déjà quelques temps. Quant à moi l’idée que tu sois le maitre de mon plaisir déjà … m’excite !

Me voilà donc parée de la robe noire, de mon body en dentelle et de ce petit œuf. Pas de peine à la rentrer tellement je suis déjà excitée.

Je te rejoints donc chez nos amis, il est 20h30 quand j’arrive, je n’ai pas le temps de sonner que déjà je sens l’œuf commencer à vibrer, as-tu reconnus la voiture sur le parking ?

Une fois entrée, j’ai l’impression que tout le monde me regarde, je suis rouge écarlate. Je sens ce petit bout de plastique et de technologie s’agiter en moi !

Assise sur le canapé, tu es en face de moi. Il y a du monde dans la salle, on discute chacun de notre côté. A chacun de mes rires, tu augmentes la puissance. Ton regard est persan et je sais où tu veux me conduire… Au point de non-retour, celui où je vais te supplier de me prendre quel que soit l’endroit où nous sommes.

Les heures passent et tu joues de la télécommande, comme tu joues de mes nerfs. Au moment où tu vois que je commence à ne plus faire de phrases cohérentes tu baisses l’intensité. Et dès que tu me sens plus calme et moins honteuse tu l’augmentes !

Il est tard, la soirée bat son plein. Voilà plus de 30 min que l’œuf tourne à plein régime. Je ne tiens plus sur mes jambes, je ne fais que m’assoir, me lever, marcher, me rasseoir … je ne fais plus une phrase sans rire niaisement perdue dans mon désir.

Cette fois s’en est trop, je te demande par sms de me rejoindre dans le jardin. Je n’en peux plus …

Je traverse la pièce en prenant soin de voir ton sourire lorsque tu reçois mon SMS.

J’arrive dans le jardin mon portable vibre : « tu m’as fait attendre … alors toi aussi tu attendras ! »

Et là … je pensais être au plus haut des vibrations … Mais non ! un cran de plus. Celui qui fait tous les modes, vite, longtemps, par intermittence. Tout y passe. Tous les modes que tu essaies sur moi depuis le début de la soirée. Ils y sont tous.

Je me pose contre un arbre et t’attends. 5 min ? 10 min ? 15 min ? Je ne sais pas mais ça me semble une éternité. Je veux que tu me prennes, je veux te sentir au fond de moi !

Tu arrives enfin… j’ouvre les cuisses et descends ma main pour dégraffer le body. Mais non, tu ne veux pas … tu ne defais pas ta braguette, tu me regardes fondre devant toi.

Tu m’embrasses, fort ! Tu glisses ta main sur ma chatte trempée.

Et …. Contre toutes attentes … tu tires sur la ficelle qui dépasse. Tu tires d’un coup sec.

Au moment où l’œuf quitte mon sexe, la jouissance explose en même temps !

Je m’effondre dans tes bras dans un cri de plaisir inégalé !

Par Choup
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 21:37

L’avantage de vivre dans une petite ville c’est qu’on recroise facilement les mêmes personnes. Cette nana je l’ai déjà croisé à plusieurs soirées professionnelles, mais pas moyen de lui parler en tête à tête. Cette fois elle est là seule.. . Alors c’est l’occasion ou jamais !

 

Elle est petite, blonde avec des yeux verts amandes à tomber, son sourire est à faire pâlir le diable. Elle a la taille fine et de petits seins ronds. Son look plutôt causal chique détonne avec sa fonction d’agent immobilier.

Je m’avance avec 2 mojitos, car je sais que c’est sa boisson favorite, assise sur le canap, nous nous mettons à bavarder de son métier, de sa vie et aussi de sa compagne. Elle m’explique qu’elle n’était pas lesbienne avant de rencontrer sa compagne, que c’était un coup de cœur. Et qu’aujourd’hui elle ne fonctionne que comme ça.

 

De blabla en blabla et de verre en verre , elle m’explique qu’elle m’a repéré elle aussi il y a quelques temps, qu’elle a vu aussi qu’elle me plaisait, mais que je n’étais pas à l’aise pour l’aborder.

Je lui explique que je n’ai jamais fait ça avec une femme. Que ça m’a toujours attiré mais que je n’ai jamais osé franchir le pas … Mais que cette fois c’est différent au-delà du fantasme, elle me plait !

 

Elle me demande de la ramener chez elle, tant mieux, car inenvisageable de rester ici après ce que l’on vient de se dire et encore moins d’aller chez moi.

Une fois en bas de chez elle, elle me demande de monter : « boire un dernier verre » comme on dit… elle non, elle est cash : J’ai envie de toi. On monte.

 

Dans l’ascenseur elle est face à moi, je ne sais pas comment m’y prendre. A elle ? A moi ? De faire le premier pas ? Je n’ai pas le temps de trop réfléchir, elle s’approche de moi … Passe ses mains dans mon cou, laisse balader sa main sur mon visage et me regarde de ces yeux verts en me disant d’une voix douce : « maintenant c’est à toi de choisir la suite » ; Je ne me fais pas prier.

J’avance mon visage vers le sien, mon cœur bat la chamade. Je pose mes lèvres sur les siennes. Les yeux grands ouverts par peur qu’elle me repousse mais les siens sont fermés et je la sens fondre contre moi.

Que c’est doux, pas de barbe naissante, pas de mâchoire carrée. C’est doux, c’est tendre. Sa langue s’insinue doucement dans ma bouche. J’ai chaud. Elle ressert son étreinte.  Mais déjà le « ting » de l’ascenseur résonne, il faut sortir de l’ascenseur.

 

Nous avançons jusqu’à sa porte, main dans la main, gênées sans se regarder. Elle glisse les clés, entre. Je panique, je ne la suis pas … elle me regarde, me souris : « Fais-moi confiance ! ». J’entre !

On se met à l’aise sur le canapé, on discute, on rigole, on joue.

Le temps file, il fait noir, elle me propose de rester dormir.

 

Elle me propose de prendre une douche et de me mettre à l’aise. J’ai beau prendre une douche fraîche, je reste bouillante de désir. Je la retrouve dans la chambre. Elle m’invite à la rejoindre sur le lit. M’embrasse, caresse ma peau nue. Je suis perdue. Elle m’allonge, me calme et m’accompagne dans les caresses. Je suis tremblante. Je n’ose pas. Elle me susurre à l’oreille qu’elle s’occupe de tout.

Me voilà partie dans un dédale de caresses, de baisers et de membres qui s'entrecroisent.

Elle mord mon cou, avale mes seins, griffe mon vente, pince mes fesses, attrape mes cuisses ... et lèche mon sexe.

Je fonds, je suis trempée.

Je crie son prénom, je veux qu'elle me pénètre, je veux la sentir plus proche. Me perdre avec elle.

Elle se glisse entre mes cuisses, pose une jambe de chaque côté de moi, de manière à ce que nous formions une croix.

Elle se met à frotter son sexe contre le mien, je sens ses lèvres s'ouvrirent , son clitoris durcir. Nos plaisirs se mêlent ...Je sens le plaisir qui monte, je ne peux pas me retenir de jouir ... Je crie dans ces bras prise de sursauts et de frissons...

Elle me sert fort contre elle m'embrasse. Mais malgré cet orgasme inexplicable, je ne suis pas rassasiée. 

Je me jette sur son sexe. je le regarde, le caresse, l'ouvre. Je découvre, ses grosses lèvres, les petites et son trésor.

Je le cagole, et commence à l'embrasser, à le lécher ...

je la sens sous moi commencer à se tordre de plaisir. Je presse mes doigts contre son vagin, sans trop savoir comment m'y prendre.

Puis je la sens pousser sous moi, elle me demande, alors j'en rentre un, deux puis trois, ça ne lui suffit pas, 4 ! elle s'assoie sur ma main, je la sers fort contre moi.

elle avale ma main... et joui fort au creux de mon cou.

 

Usées par la fatigue et par la jouissance ... on s'endort dans les bras l'une de l'autre. 

Par Choup
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