Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 08:05

Quelle dure semaine ! Une fois de plus le boulot prend une place folle...

Du coup grâce ou à cause (cela dépend du coté ou l'on se place) , j'ai décidé de me prendre un moment pour moi, rien que pour moi … avec un bon bain et tout ce qui va avec …

Tout d'abord il faut préparer une ambiance propice au moment de calme et de détente…

Il faut donc installer la salle de bain, bougies, lumières tamisées (ravie du petit achat que j'ai fait : de petites boules lumineuses qui changent de couleurs , autonomie : 5h !) et le plus important : une baignoire pleine d'eau … délicieusement parfumée de fleur de cerisier …. Un peu de mousse …

On ajoute à tout ça , un bon chauffage, une serviette qui attend sur le rebord, un bon verre de vin, de la musique douce…

Laissez mijoter tout ça ….20 min plus tard c'est prêt…

Reste plus qu'à prendre le bouquin de rigueur et se déshabiller ….

Une fois glissée dans l'eau …

Prendre le temps de détendre chaque partie de son corps , et sentir l'eau chaude s'immiscer, se glisser sur chacune des parties du corps … de la nuque aux doigts de pieds…

Mais il faut faire attention aux parties intimes…

Pour se faire le mieux est de les laisser tranquilles un moment… Puis de descendre les mains, de façons à ouvrir doucement…

L'eau vient donc réchauffer des parties plus cachées…. La chaleur qui doucement se dépose, procure une sensation étrange, mais tellement bonne….

Pour ce qui est de la poitrine : les rentrer doucement est important, car la peau est sensible … mais quelque soit la manière choisie, ils vont rapidement durcir et réagir …

Une fois toutes les parties du corps mouillées…

Vous prendrez soin, de vous essuyer les mains, afin de saisir votre livre… vous aurez préférez un récit érotique plutôt qu'un Baudelaire ou un ouvrage politique (ça facilite la détente !), et vous reprenez là ou vous en étiez… Vu l'effet que le dernier chapitre à fait sur vous…. Vous veillerez à déposer vos jambes sur les rebords.

1/ pour les refroidir car le bain est un peu chaud

2/pour vous laissez découvrir les sensations de l'eau sur votre entrecuisse ici, bien ouvert…

La lecture reprend donc … Mais rapidement le récit fixe des images dans votre esprit, plus ou moins folles, quoiqu'il en soit, cela vous donne une envie folle de vous caresser…. Le livre se pose donc simplement sur le coin du meuble… et votre main sillonne votre corps… Vos seins d'abord, qui réagissent d'une manière simultanée et rapide …

Elles descendent lentement vers votre ventre… puis vers vos cuisses, elles sont douces … vous remonter le long… pour trouver la zone qui vous intéresse….

Lentement vous ouvrez d'un doigt habile ces lèvres qui n'attendent que ça ….vous vous mettez à titiller sagement le petit bouton…. BBBBrrrrrrr c'est que ce coquin à déjà bien gonflé , comme si il avait su ce que vous alliez faire…

Vous le tordez, le titiller , dans votre tête, c'est un beau jeune homme qui le fait, le plus souvent avec ses lèvres… mais revenons à la réalité… la dure réalité, celle du : « je suis toute seule et excitée comme une puce... »

Du coup , vos doigts se font plus mutins…. Ils vont à la rencontre de votre antre… qui n'attend que ça , soyons clairs… il suffit d'un rien… Vous le savez très bien… si vous entrez , vous devrez aller jusqu'au bout … Il est encore temps de reculer…?????

Quelle décision ?

J'arrête ??? Ou je continue ….????

En coquine que vous êtes , vous allez continuer … votre doigt va donc entrer… mais contre toutes attentes l'intérieur est moins chaud que l'extérieur… mais peu importe , vous êtes bien… vous découvrez cette partie si intime… doucement… par va et vient lents, en touchant les cotés, devant…. L'excitation monte de plus en plus… Vous vous allonger un peu plus… ce qui laisse découvrir une nouvelle sensation… celle d'un autre antre qui se laisse lui aussi imprégner d'une eau chaude et excitante…

Mais revenons à nos premières envies… 1 doigt ne suffit plus, 2… puis 3 … mais pourquoi, pourquoi est ce qu'il en veut encore plus ? Vous voilà à 4, sans avoir eu le temps de dire ouf… mais il vous manque encore quelque chose…

Il faut trouver une solution…. C'est à ce moment là que entre en jeu un lapin violet … Vous ne voyez pas que quoi je parle ???? Bine sur que si, petite coquine ! :p

il suffit d'un tour sur le bouton du bas pour le sentir vibrer.... mmmh le bruit que ça fait ... le brrrrr du lapin se ressent facilement dans le bas le dos. alors quand il entre en action , qu'il se glisse dans l'eau ... dans l'antre ... le plaisir ne peut pas être dissimulé ! 

Alors hop ... un, deux , trois , aller-retours ... et vous voilà entrain de bénir ce petit lapin ...

Par Choup
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 21:53

On est chez tes parents … alors déjà ça commence mal … Il était hors de question que l’on couche ensemble, après tout on est AMIS … et pas plus …

Mais bizarrement le fait qu'on dorme ensemble et ça ne choque personne.

Lorsque tu as commencé à me retirer mon pull, les yeux pleins d’étoiles on se disait encore qu’on était qu’AMIS …

Lorsque tu as déboutonné mon pantalon j’ai bien compris qu’on serait plus que des amis !

Il n’a pas fallu longtemps pour que tu me déshabilles et descendes entre mes cuisses. Tu as une manière bien à toi de lécher une femme, tu ne prends pas le temps d’ouvrir doucement, tourner autour … Non toi, tu fonces et tu ne prives pas de tirer sur mes lèvres pour te laisser tout le loisir de profiter pleinement de ma fente déjà humide (depuis le début de la soirée, non ?)

Tes léchouilles s’accélèrent et font monter mon plaisir, à tel point qu’il me faut peu de temps pour te demander de me prendre. Tu t’allonges sous moi, et me demandes de m’empaler sur ton phallus que j’ai souvent critiqué pour sa petite taille mais qui sait me faire crier de plaisir. Allongée sur toi, je savoure les mouvements de tes hanches, en t’embrassant dans le cou et en subissant tes caresses sur mes seins. Tes mains se baladent, sur mon dos, mes hanches, mes fesses … Et puis d’une simple balade c’est devenu un arrêt prolongé sur mes fesses.

Plus je me tends, plus tu me demandes de me détendre, Je t’ai vu lécher ton doigt, me regarder longuement et doucement glisser ton doigt entre mes fesses. La surprise est telle qu’une larme a coulée Tu continus à me préparer longuement et doucement , avec ces fameux baisers dans le cou qui me font fondre, avec ce désir que tu fais monter en moi. Puis ton doigt  appuye , plus fort, plus loin. Un cri (de douleur ? de plaisir) traverse la pièce. Je viens de me lancer dans un plaisir que je ne connais pas , dont j’avais une idée fausse , mais qui va m’entrainer dans des nuits de folies.

Nous sommes en Février 2008 soit 4 ans après la perte de ma Margueritte … mais qu’est-ce que j’ai pu loupé durant tout ce temps ? ! Tu as continué ton massage en me promettant de me faire jouir « par-là ». Je pensais cela impossible, mais il ne faut jamais dire jamais. Quelques minutes plus tard, accrochée à toi tel un koala à sa branche, j’hurlais un Ouiiiii frénétique. *

Cette nuit-là, j’ai compris que je ne serais plus la même … pas parce que on m’avait laissé gouter à ça , mais plus parce que cette nuit-là, j’ai compris que dans la sexualité, ça valait le coup de tester tout ce qu’on veut !

Par Choup
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 20:18

On s’est rencontrés sur le net. Le courant passe bien. On se met à se fréquenter plus assidument.

Quelques échanges de baisers … de caresses … mais on ne va pas plus loin et ça nous suffit comme ça. Ça dure un an cette histoire, pendant un an, nous partageons régulièrement quelques heures … sans engagement. On discute, on rigole , on profite.

Et puis tu rencontres quelqu’un, moi aussi … alors nos échanges diminuent… mais nous restons en contact. Puis un jour de septembre, tu me proposes de passer boire un verre « parce qu’on ne s’est pas vu depuis longtemps ».

On s’installe sur le canap, et on commence à discuter comme si on s’était quitté la veille. Je te parle de ma nouvelle vie, avec ce nouveau chéri. Et des projets que je fais avec lui. Plus le temps passe et plus je sens ton regard lourd de sens sur mes seins ou ma bouche. Je calme le jeu en te rappelant que je suis avec quelqu’un maintenant et que je ne veux plus de ce jeu-là.

Mais déjà tu t’approches et tentes de m’embrasser. Je te repousse en t’expliquant qu’il veut mieux en rester là !

Je me lève, mais tu m’empêches de remettre mes chaussures, tu me plaques contre le mur et viens coller tes lèvres aux miennes. Je te repousse, mais semble-t-il pas assez fermement, car tu reviens à la charge. Cette fois c’est un non plus ferme qui s’empare de moi. Tu as l’air perdu … j’enfile mes chaussures et prends ma veste. J’arrive à la porte, tu la fermes à clés devant moi en jetant les clés à l’autre bout de la pièce, Je me précipite pour les ramasser, mais déjà tu me pousses sur le canapé.

Tu te jettes sur moi , m’embrasses, me lèches … Je me débats, je ne veux pas… je te le dis, je te le crie … mais rien à y faire. Tu passes ta main sur mes seins …sous mon pull. je te supplie d’arrêter ! Mais rien n’y fait ! tu commences à déboutonner mon pantalon …

LUI : aller laisse toi faire …

ELLE : non, lâche moi

LUI : j’adore quand tu dis non ça m’excite

ELLE : …

Prise de panique, je tape là où je peux … C’est un coup entre les cuisses qui te fera me lâcher … J’avance à la porte tremblante … en larmes ! Lorsque tu finis par m’ouvrir la porte…

 

 

LUI : t’es chiante tu ne sais pas ce que tu veux …

Par Choup
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Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 07:45

Ne jamais porter de jupe avec toi en été …

Je le sais pourtant… je te connais par cœur …

Pourtant cette fois, je n’ai pas fait attention.

Petite jupe blanche, débardeur, string et soutien-gorge, me voilà parée pour une soirée salsa.

Je sais que tu aimes que je remue mes fesses devant toi, je sais que tu ne résistes pas à l’idée de plaquer ton torse contre ma poitrine.

Alors nous y voilà, il fait chaud dans le bar, la soirée est déjà bien commencée.

Les corps se touchent et se séparent au rythme de la musique.

Nous les rejoignons sur la piste et tu te colles à moi.

J’aime ton parfum, bois de santal … une odeur d’homme.

On commence à danser, tu plonges ton regard dans le mien, avant de le descendre entre mes seins.

Je sens ta main se refermer sur ma taille.

 

La musique continue … batachata, merengue … on danse , on rit …

La chaleur commence à nous emporter, je sens le bas de mon dos chauffer.

Tu me souffles à l’oreille : « Viens on va danser ailleurs ».

Pas le temps de réagir que nous sommes déjà hors du bar.

Nous ne sommes qu’à quelques dizaines de mètres de chez toi.

Nous rentrons à pieds par les petites rues sombres.

Tu marches à côté de moi, une main sur mes fesses.

Ou derrière moi et je sens ton regard sur ma croupe.

 

Puis tu me fais tourner dans une ru que je ne connais pas , très peu éclairée… encore quelques pas et tu me fais rentrer dans une entrée d’immeuble.

Ces vieux immeubles avec les grandes portes en bois, tellement présents dans le 6eme !

Là contre le mur froid, tu passes ta main sous ma jupe, écartes le string et passes ton doigt entre mes lèvres.

Je sais ce que tu cherches, et je sais aussi que tu vas le trouver.

Ton doigt revient entre nous, tu le lèches, en me regardant :

LUI : je savais que cette soirée te plaisait

ELLE : tu sais bien que j’aime danser

LUI : c’est que pour ça que tu es venue ce soir

ELLE : …………….non !

LUI : quitte ton string et ton soutien-gorge

 

Il me fallut quelques secondes pour prendre la mesure de ce qui m’attendait … Avais-je bien compris ? comme ça ? en pleine ville ?

Tu me connais assez pour savoir quand je panique, d’un simple coup d’œil, ou d’un simple baiser, tu arrives à me convaincre.

 

Me voilà donc repartie, cul nu, seins pointant sous mon top dans ces rues, que je ne verrais plus jamais de la même façon.

Tu marches à côté de moi, la main sur ma fesse, tu la pinces, la malaxe, la tapote gentiment.

Je me laisse faire à la fois, perdue, honteuse et excitée.

Puis on arrive dans une rue que je connais, on se rapproche de chez toi.

A chaque entrée de parking où d’immeuble tu me plaques contre le mur , je reçois tes doigts, ta langue.

Ta cuisse que tu bloques entre mes jambes … ton pantalon se colore de mon excitation.

Mes seins pointent à travers le top, pour les voir se balancer tu me fais marcher plus vite.

 

LUI : tu es belle, j’aime te voir ainsi

 

Le parking d’après c’est moi qui t’attire dedans, je n’en peux plus je veux te toucher, alors ni une, ni deux je glisse ma main dans ton patalon.

Je ne suis pas déçue, ta queue est déjà bien bandée et ton bout bien humide.

Après quelques secondes de caresses tu m’obliges à te lâcher.

 

LUI : sois patiente, je te laisserais le toucher une fois arriver

 

Je m’en lèche les lèvres d’avance.

Nous voici arrivés devant chez toi, je ne tiens plus.

Une fois dans l’ascenseur, je me jette sur ta braguette, je te veux dans ma bouche. Je ne tiens plus.

Mais une fois encore tu es as décidé autrement …

Tu me relèves, me plaque face contre mur et soulève ma jupe pour m’assigner une belle fessée.

Une de celles qui font crier de plaisir.

 

Les portes s’ouvrent, on avance jusqu’à ta porte.

Tu es derrière moi …

Je sens ta main qui relève ma jupe …

Ton doigt qui coulisse entre mes fesses.

Tu sais que tu n’auras pas besoin d’insister pour entrer …

Arriver devant ta porte j’attends que tu l’ouvres.

Mais tu préfères m’enfiler ton doigt dans le sexe, de dos.

Je me retrouve collée contre ta porte.

Tu tires sur mon haut, mes seins se posent sur le bois froid.

1,2,3,4 doigts, je dégouline, je n’en peux plus.

Tu me sommes de ne pas crier.

Mais je ne tiens plus.

Alors avec un coup de clé tu me délivres…

La porte s’ouvre … je rentre …

Et tu fermes la porte …

Par Choup
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Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 07:43

On en parlait …on regardait … mais pas moyen de se décider …

Quoi ? quel prix ?...

Alors un jour c’est moi qui ait fait le choix …

J’ai choisi des boules de geisha !

 

Tu es chez tes parents, quant à moi en soirée où je m’ennuie beaucoup …

Alors il me suffit d’un sms pour te convaincre !

 

ELLE : j’ai acheté les boules de geisha , si tu veux les voir viens me chercher

 

15 min plus tard on part … Sur le trajet, j’en profite  pour te lire des anecdotes croustillantes du livre « faire l’amour partout sauf dans un lit »

Les kilomètres s’alignent, l’excitation monte… On veut tous les deux savoir ce que ça fait !

On arrive enfin chez toi, l’appartement est vide … ouf !: pas de colloc …

Enfin ouf … ça reste à voir car je sens bien que je vais rentabiliser mon achat très vite !

On prend à peine le temps de se déshabiller que déjà les boules sont prêtes à être utilisées.

Tu prends le temps de jouer avec avant de m’enfoncer la première , le passage est difficile mais une fois dedans, le plaisir est déjà là.

Tu enfonces la seconde et tu te mets à prendre un malin plaisir à les faire bouger en tirant sur la ficelle !

 

Excitée, trempée et avec une seule envie … celle de jouir …

Tu me fais me lever, marcher avec , parader au milieu de la chambre …

La tension monte, l’excitation devient plus forte , on se chamaille,

On joue, tu me perturbes, tu sais que je démarre au quart de tour …

Tu me taquines, je crie,

Tu pars en courant, je te suis …

A l’angle du couloir, tu m’attrapes fermement et tires sur la ficelle …

Je ne résiste pas .

Au moment où les boules sortent de moi, mon plaisir se lâche …

Je ne tiens plus debout, je finis assise sur le sol froid, ton regard satisfait sur moi …

Et c’est au milieu d’un couloir sombre , que pour la première fois je découvre le plaisir des joujoux en plastique …

Par Choup
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recitsdechoup

 
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