Partager l'article ! et si on passait par la petite porte: On est chez tes parents … alors déjà ça commence mal … Il était hors de question que l’on couche ...
Les récits de Choup
On est chez tes parents … alors déjà ça commence mal … Il était hors de question que l’on couche ensemble, après tout on est AMIS … et pas plus …
Mais bizarrement le fait qu'on dorme ensemble et ça ne choque personne.
Lorsque tu as commencé à me retirer mon pull, les yeux pleins d’étoiles on se disait encore qu’on était qu’AMIS …
Lorsque tu as déboutonné mon pantalon j’ai bien compris qu’on serait plus que des amis !
Il n’a pas fallu longtemps pour que tu me déshabilles et descendes entre mes cuisses. Tu as une manière bien à toi de lécher une femme, tu ne prends pas le temps d’ouvrir doucement, tourner autour … Non toi, tu fonces et tu ne prives pas de tirer sur mes lèvres pour te laisser tout le loisir de profiter pleinement de ma fente déjà humide (depuis le début de la soirée, non ?)
Tes léchouilles s’accélèrent et font monter mon plaisir, à tel point qu’il me faut peu de temps pour te demander de me prendre. Tu t’allonges sous moi, et me demandes de m’empaler sur ton phallus que j’ai souvent critiqué pour sa petite taille mais qui sait me faire crier de plaisir. Allongée sur toi, je savoure les mouvements de tes hanches, en t’embrassant dans le cou et en subissant tes caresses sur mes seins. Tes mains se baladent, sur mon dos, mes hanches, mes fesses … Et puis d’une simple balade c’est devenu un arrêt prolongé sur mes fesses.
Plus je me tends, plus tu me demandes de me détendre, Je t’ai vu lécher ton doigt, me regarder longuement et doucement glisser ton doigt entre mes fesses. La surprise est telle qu’une larme a coulée Tu continus à me préparer longuement et doucement , avec ces fameux baisers dans le cou qui me font fondre, avec ce désir que tu fais monter en moi. Puis ton doigt appuye , plus fort, plus loin. Un cri (de douleur ? de plaisir) traverse la pièce. Je viens de me lancer dans un plaisir que je ne connais pas , dont j’avais une idée fausse , mais qui va m’entrainer dans des nuits de folies.
Nous sommes en Février 2008 soit 4 ans après la perte de ma Margueritte … mais qu’est-ce que j’ai pu loupé durant tout ce temps ? ! Tu as continué ton massage en me promettant de me faire jouir « par-là ». Je pensais cela impossible, mais il ne faut jamais dire jamais. Quelques minutes plus tard, accrochée à toi tel un koala à sa branche, j’hurlais un Ouiiiii frénétique. *
Cette nuit-là, j’ai compris que je ne serais plus la même … pas parce que on m’avait laissé gouter à ça , mais plus parce que cette nuit-là, j’ai compris que dans la sexualité, ça valait le coup de tester tout ce qu’on veut !
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