découverte

Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 15:42

Cela faisait des jours, des semaines, des mois qu’on espérait, qu’on attendait ce moment-là !  

Des jours qu’on s’envoyait des messages enflammés qui détaillaient point par point ce qu’on voulait se faire … des soirées à faire l’amour par messages interposés. A jouir dans le bain en imaginant ses doigts et sa langue, des nuits à espérer que mon envie se concrétise…

Et puis il y a eu ce week end !

 

LUI : Coucou, je suis la vendredi et samedi, on peut se voir ?

ELLE : oui !

LUI : par contre je suis avec un collègue donc discrétion oblige !

ELLE : c’est toujours mieux que rien !

 

Le RDV est donné … vendredi, je passe les récupérer à leur hôtel et je fais visiter le coin ! Après tout rien de mieux que quelqu’un d’ici pour faire découvrir les beautés de la région, non ?

 

ELLE : je suis sur le parking

LUI : on arrive !

 

1 an ! 1 an sans se voir, 1 an sans se toucher, 1 an sans se sentir !

La veille des tonnes de doutes m’ont envahi ! Et si… je n’étais plus à son goût, et si on ne se désirait plus, et si la flamme était éteinte …

Ils sont sortis … je les ai vu face à moi ; Enfin je l’ai vu … LUI !

Il m’a souri et l’effet a été immédiat !

J’ai senti cette boule, de chaleur, de douceur, irradier au plus profond de mon être, à chaque pas qui le rapprochait de moi je voyais une scène de sexe qu’on avait vécu...

Me faire baiser contre un mur, me faire masser l'entre cuisse, me faire lécher goulûment... Mais aussi toute la tendresse qu’il savait mettre dans nos échanges. Ses baisers dans le cou qui me faisaient fondre, sa main qui remontait le long de ma jambe pour se caler derrière ma fesse et l’empoigner …

 

Nous sommes montés dans la voiture et hop direction les grandes plaines ! Le trajet se passe dans une ambiance étrange … des échanges sur la région, sur leur séjour, je tente de m’intéresser mais l’objet de mon désir se tenant sur le fauteuil passager j’ai du mal à suivre!

Ma voiture est puissante, je fixe la route et fais vrombir le moteur à chaque frisson qui me parcours … Nous alignons les kilomètres.

Nous arrivons dans une cité médiévale magnifique, avec son quota de vieilles pierres, de petites boutiques et de passages souterrains….

 

Même s’il tente de manière un peu cafouilleuse de se débarrasser de son collègue afin que l’on se retrouve seul, impossible ! C’est là que commença un jeu au combien excitant : la chasse !

Ou comment se chercher, se courir après, se frôler, se toucher, s’allumer sans jamais se faire pincer !

 

Passer l’un à côté de l’autre, se détailler du regard, une main dans le dos, se toucher les doigts lorsqu’on ouvre la porte, attendre un ascenseur avec lui dans mon dos. Finalement la tentation est là ! bien présente ! Le premier vrai contact a eu lieu au restaurant. Nous avons profité de la courte absence de son collègue pour échanger un baiser dans le cou ! WAH !

Oui j’en vois déjà dire … eh ben … si c’est ça son week end sensuel ça ne vole pas bien haut …tenez bon !

 

Ce bisou a lancé les hostilités ! Cette fois, plus de « peut-être qu’il m’a frôlé par  inadvertance, peut-être qu’il louchait et qu’il regardait derrière moi, peut-être qu’il ne regardait pas mes fesses et  mais une tâche sur mon dos …. » ! Il veut ... Je veux .... Nous voulons ! Arrivés au restaurant, il suffira de sa main, ferme, sur ma cuisse pour confirmer son désir… alors au moment de se quitter … qu’il est difficile de partir !  Sa bise insistante et sa main sur ma fesse n’ont fait qu’accentuer mon envie de me faire prendre, là maintenant … de suite !

 

Il faudra attendre une nuit …. Une nuit de plus à ronger mon frein, à me caresser frénétiquement dans l’espoir que ses doigts que j’enfonce en moi soient les siens... que ce joujou soit remplacé par sa merveilleuse longue et belle queue...

 

Je tente de passer  la journée à m’occuper l’esprit … tout est bon … lecture, TV, ballade …. Rien à y faire ! Mon esprit est resté bloqué sur LUI ;  sur son cou, ses mains, sa bouche, ses fesses … et sur son bas ventre …  Je me bichonne avant d’aller au rdv, même si d’extérieur il me faut une tenue sobre … mes dessous sont à l’image de mon envie coquins et chauds ! Ensemble de dentelle noire, épilation, crème pour le corps … tout y passe ! le tout couvert d’un parfum qu’il aime ! Un point de rouge à lèvres et hop en route !

                                                          chemisier_sur-un-parking.jpg

Lorsque je me gare sur le parking de l’hôtel, c’est une tigresse qui sort de la voiture !

LUI : chambre 135 !

 

Chaque marche est une incitation à la débauche, chaque frisson ne fait que faire grandir la flamme qui me consume… Je me vois déjà , frapper à la porte , me poser contre le tour de porte avec des yeux de biche … en disant « c’est quand tu veux ! » …  « Prends-moi ! » …. « Je suis à toi ! » … « La nuit est à nous… » Ou quelque chose comme ça !

 

Mais lorsque la porte s’ouvre tous mes espoirs se brisent !

Dans la chambre il n’est pas seul ! Il la partage avec son collègue !

 

LUI : restriction budgétaire !

Je maudis son entreprise !!!!

 

J’attends qu’ils finissent de se préparer en fulminant !

Je suis odieuse … tellement vexée et frustrée … comme si on m’avait fait un coup de travers ! Alors qu’il n’avait rien promis, rien dit … il voulait juste qu’on se voit ! Mais qu’ai-je cru ?

Ma conscience se pause  sur mon épaule droite et me dit :

 CONSCIENCE DE DROITE : c’est mieux comme ça ! De toutes façons tu n’es pas bonne les premières fois, il n’aurait pas aimé ton corps, tu n’as pas été assez claire dans tes intentions …

 

Puis ma conscience de gauche apparaît avec un discours beaucoup plus … tranchée !

 CONSCIENCE DE GAUCHE : fais lui regretter de ne pas avoir poussé pour avoir une chambre seul, fais lui regretter de ne pas être venu seul, fais lui regretter les fois où il t’a posé un lapin !

 

Nous descendons au restaurant, son collègue a beau s’absenter de la table régulièrement, je suis froide, distante. Il me regarde avec insistance, me demande si ça va…je lui glisse :

ELLE : je voulais passer la nuit avec toi !

 

Je vois dans ses yeux la déception, oui il l’avait envisagé, oui il l’avait espéré mais …la difficulté de justifier, la peur que ça n’arrive pas …SA conscience avait tranché pour nous !

 

Un repas plus tard, je me détends et me rends compte que ce n’est pas parce qu’on ne peut pas concrétiser qu’on est obligé de s’éviter . Je sens sous la table sa première caresse ! Je me dis que ce contre temps ne représente en rien son envie !  Alors je me laisse porter... pendant des heures... ses regards, ses mains dans mon dos, une caresse (légère) sur les fesses !  Moi j ai moins de retenue ! Et surtout rien à perdre... alors les mains aux fesses sont explicites, mes regards sont plein de désirs, ma bouche exprime clairement l'envie de sucer sa queue.  Il commence à se prendre au jeu...Mais avec plus de finesse ... Je ne sais plus qui est la proie, qui est le chasseur ... tout se mélange.

 

Lorsque l'occasion se présente au hasard d'une rue, ombragée, à l'abri des regards... Il m'attrape le bras, me force à me retourner ... Sa bouche approche de la mienne. C'est un simple "smack" comme disent les jeunes. Un de ces bisous que n'importe qui peut faire un n'importe qui ... Mais pour nous ... c'était tout ! 

 

Le jeu a continué, lascivement ... il fallait jouer avec l'ombre des luminaires pour ne pas se faire repérer , attendre que son collègue regarde ailleurs pour tenter de s'embrasser. Des heures à s'allumer, à jouer, à s'approcher pour s'embrasser et à se détourner à la dernière minute parce qu'on nous parlait. 

 

Puis nous nous sommes assis pour assister à un spectacle . Cette fois je voulais clairement marquer mon intention ! Pas question qu'il reparte en croyant que c'était une vague envie ! Non ! C'était de lui dont j'avais envie ... de son corps, de ses mains, de sa bouche ...  Assis côte à côte on regardait le spectacle ... j'ai pris sa main pour qu'il profite à travers mon haut de mon charmant soutient gorge de dentelle ... je savais que ça le ferait rager de sentir ce qu'il loupait ... Et puis , avec mon plus beau regard d'ange ... je me suis penchée pour ramasser la bouteille d'eau posée à ses pieds ... ma main a pris le temps de remonter le long de sa jambe et de passer de manière rapide mais appuyée sur son membre. Juste le temps de le sentir ... durcir !

 

Inutile de vous dire qu'après ce moment les cartes étaient redistribuées et que cette fois au diable les convenances, toutes occasions pour m’embrasser étaient bonnes à prendre, que les caresses sur mes fesses n'étaient pas de simples passages rapides mais prenaient bien le temps de marquer son territoire !

 

Il est temps de rentrer à l’hôtel, sur le chemin je lui souffle : "je n'en peux plus ! j'ai envie de toi !" ... je sais que l'envie est réciproque ... Mais comment ????????

 

Je les redépose devant l’hôtel et nos chemins se séparent ... avec une frustration inexplicable !

Je n'ai pas fait le tour du pâté de maison que je reçois un SMS :

LUI : Je redescends !

 

j'attends donc sagement son retour ... il est là en face de moi ... Les 3 pas qui me séparent de lui déclencheront les hostilités. Finalement est ce que ce n'était pas plus simple de continuer de jouer ?? est ce j'ai vraiment envie d'aller plus loin ? je n'ai pas le temps de réfléchir que déjà sa bouche se colle à la mienne. Sa langue passe lentement sur mes lèvres pour me forcer à les ouvrir. Il me sert fort et je sens son mât se dresser dans son short. Il y a du monde et rapidement on se rend compte qu'on est épié. On décide donc de s'éloigner ...

 

Une petite rue, un capot de voiture et nous voilà à nous embrasser comme deux gamins. Le coeur qui bat la chamade. les doigts qui ne savent pas où se poser ! mais rapidement ce sont bien deux adultes (consentants !) qui sont l'un en face de l'autre. Dans ses yeux, je vois le désir qui le taraude.

 

LUI : j'ai envie de te baiser

ELLE : j'ai envie que tu me fasses crier !

                                          chemisier2_sur-un-parking.jpg

les caresses sont décousues et pas appliquées, cela fait tellement longtemps.

Pourtant quand il empoigne mon sein, ce dernier durci immédiatement. Moi qui ai tant perdu en libido me voilà comme une chatte en chaleur. Il ouvre mon chemisier, pour caresser la peau blanche du haut de mon sein. Le contraste est saisissant entre mon chemisier noir comme l’ébène, ma peau blanche comme la neige et nos joues rouges de désir.

Il s'est mis à descendre doucement ses doigts sous la dentelle, de manière à faire le tour de mon mamelon gonflé par le désir et par l'envie. Il a rapidement trouvé le bout ... lorsqu'il le prend entre ses doigts il est tendu mais en le tirant et le tordant, il le rend à la limite entre la douleur et le plaisir. Plus, il me fait pointer, plus je sens mon sexe fondre. A chaque mouvement de ses doigts sur mon sein, ma dentelle se remplie de plaisir. Embêtés par mon soutien gorge, je plante mes yeux dans les siens et dans un mouvement presque rapide et presque sexy je dégrafe et fait glisser la pièce de tissus de manière à être libre de tout ressentir ! Ma poitrine se ballade sous mon chemisier, à moitié ouvert. Je la vois pointer à travers le tissu. Lorsqu'il se jette dessus à pleine main je ne peux que hurler mon plaisir au creux de son cou. 

J'aimerais être ailleurs ... dans un endroit où je pourrais être nue contre lui... où on pourrait jouir ensemble ! 

ELLE : si tu savais ce que je porte en bas ... un magnifique boxer de dentelle ...

LUI : Tu me rends fou !

ELLE : Ah oui ?! attends tu n'as encore rien vu !

Persuadée que je maîtrise encore cet échange, je décide d'ouvrir mon jeans face à lui, défaire la ceinture en passant ma langue sur mes lèvres, défaire le bouton en lui caressant du bout des doigts les lèvres , descendre la fermeture éclair en enfonçant son doigt dans ma bouche. Son érection déborde de son short, je la vois, je la sens ! Je prends sa main et décide de lui faire toucher du bout des doigts ce qu'il manque ... Mais ... Mais c'était sans compter que je ne maîtrise rien et que finalement ... c'est lui qui décide ! alors de sa main experte, il trouve facilement par dessus ma dentelle, mon bouton magique ! en un tour de doigt, il le fait sortir de son capuchon, (remarque, n’était il pas déjà sorti avec l'excitation ?) , la dentelle serrée ne fait qu'augmenter le plaisir et la sensation de me perdre dans les abîmes du plaisir .

 

Il appuie, caresse, tourne autour, tapote ...Nous sommes au milieu du parking, à l’affût de chaque voiture qui tourne ou entre dans le parking. Je me retrouve coincée contre le pare choc, trempée, avec une respiration saccadée par le plaisir et l'excitation. Je sais qu'il veut enfoncer son doigt mais on ne peut pas ... pas là ! Mais rien ne l’arrête , il descend et son doigt fait des va et vient, la dentelle entre en moi...     ça brûle, c'est excitant.

 

Il remonte sur mon clitoris, ses gestes sont devenus sûrs et appliqués.De son autre main il alterne entre me tenir pour que je ne tombe pas et mon sein qui ne fait que grossir encore et encore. Je me cache dans son cou car je sais ... je sens que le plaisir monte. Je sens que mon petit boxer de dentelle n'est plus qu'une vulgaire éponge à plaisir, que mes seins ne sont plus que des zones de douleur excitante. Je ne vois plus les voitures, je ne pense plus aux gens qui passent, je veux juste jouir ... oui jouir.

 

ELLE : je ne tiens plus, ça vient !

LUI : Oh oui ! Laisse toi aller !

et me voilà sous la lune presque pleine, a crier mon plaisir d'une voix sourde dans les bras de mon amant, sur un vulgaire parking d'hôtel.

 

Le constat est sans appel ... J'aime le sexe ... j'aime le sexe fort et dangereux ! et je n'attends qu'une chose ... remettre ça ... au plus vite , avec lui ?

 

 

 

 

 

Par Choup
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 21:53

On est chez tes parents … alors déjà ça commence mal … Il était hors de question que l’on couche ensemble, après tout on est AMIS … et pas plus …

Mais bizarrement le fait qu'on dorme ensemble et ça ne choque personne.

Lorsque tu as commencé à me retirer mon pull, les yeux pleins d’étoiles on se disait encore qu’on était qu’AMIS …

Lorsque tu as déboutonné mon pantalon j’ai bien compris qu’on serait plus que des amis !

Il n’a pas fallu longtemps pour que tu me déshabilles et descendes entre mes cuisses. Tu as une manière bien à toi de lécher une femme, tu ne prends pas le temps d’ouvrir doucement, tourner autour … Non toi, tu fonces et tu ne prives pas de tirer sur mes lèvres pour te laisser tout le loisir de profiter pleinement de ma fente déjà humide (depuis le début de la soirée, non ?)

Tes léchouilles s’accélèrent et font monter mon plaisir, à tel point qu’il me faut peu de temps pour te demander de me prendre. Tu t’allonges sous moi, et me demandes de m’empaler sur ton phallus que j’ai souvent critiqué pour sa petite taille mais qui sait me faire crier de plaisir. Allongée sur toi, je savoure les mouvements de tes hanches, en t’embrassant dans le cou et en subissant tes caresses sur mes seins. Tes mains se baladent, sur mon dos, mes hanches, mes fesses … Et puis d’une simple balade c’est devenu un arrêt prolongé sur mes fesses.

Plus je me tends, plus tu me demandes de me détendre, Je t’ai vu lécher ton doigt, me regarder longuement et doucement glisser ton doigt entre mes fesses. La surprise est telle qu’une larme a coulée Tu continus à me préparer longuement et doucement , avec ces fameux baisers dans le cou qui me font fondre, avec ce désir que tu fais monter en moi. Puis ton doigt  appuye , plus fort, plus loin. Un cri (de douleur ? de plaisir) traverse la pièce. Je viens de me lancer dans un plaisir que je ne connais pas , dont j’avais une idée fausse , mais qui va m’entrainer dans des nuits de folies.

Nous sommes en Février 2008 soit 4 ans après la perte de ma Margueritte … mais qu’est-ce que j’ai pu loupé durant tout ce temps ? ! Tu as continué ton massage en me promettant de me faire jouir « par-là ». Je pensais cela impossible, mais il ne faut jamais dire jamais. Quelques minutes plus tard, accrochée à toi tel un koala à sa branche, j’hurlais un Ouiiiii frénétique. *

Cette nuit-là, j’ai compris que je ne serais plus la même … pas parce que on m’avait laissé gouter à ça , mais plus parce que cette nuit-là, j’ai compris que dans la sexualité, ça valait le coup de tester tout ce qu’on veut !

Par Choup
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Samedi 27 juin 6 27 /06 /Juin 16:46

Ca a commencé juste par bain … Ce bain qui fait du bien … avec plein de mousse, des bougies de la musique … Est-ce l’effet de la chaleur, des idées qui me trottent dans la tête, ou encore ce message qui m’allume ?… je ne sais pas , quoiqu’il en soit , j’ai envie !

Envie de me caresser, de me toucher, de faire bander mes seins, de me faire mouiller et de me conduire à la jouissance. Pendant 1h, je vais profiter des bulles pour m’attarder sur mes seins. En ce moment, ils sont sensibles et peinent à durcir, pourtant avec de la douceur, en prenant le temps de faire le tour, je les vois se mettre à pointer.

J’aime titiller mon téton, le faire durcir, le faire rouler dans mes doigts, puis le pincer lentement. La plupart du temps cette action me fait pousser un long soupir, mais pas cette fois, je suis déjà à la limite de la jouissante et je comprends vite que cette soirée va être longue.

Il entre à ce moment-là dans la salle de bain et je comprends à son regard qu’il me désire et qu’il n’attend qu’une chose : que je sorte de là pour me prendre ! Mais peut -importe ces bains-là sont pour moi , alors lentement je descends mes mains vers mon mont de vénus qui déjà frétille d’impatience .

Lentement j’ouvre mon sexe du bout des doigts. Doucement je sépare mes lèvres afin d’arriver à l’entrée de mon vagin, comme je le pensais … ce n’est pas de l’eau J’aime ce moment-là, celui où tu peux basculer, où on peut encore choisir entre se caresser et jouir ou juste profiter de ce moment de bienêtre. Je sais ce que j’ai choisi ! Avec deux doigts, je tiens mon sexe ouvert, de l’autre main, j’en profite pour caresser mon clitoris et le faire sortir. Il est bien rouge et bien dur. Je continue mon investigation, en faisant des mouvements de haut en bas. Mais déjà mon vagin happe un de mes doigts. Il ne me faut pas longtemps pour engager le second.

J’aime les faire entrer en moi petit à petit … quand j’arrive à 4, je pousse un coup sec, et mon soupir témoigne du désir et de l’envie que j’ai d’avoir autre chose au fond de moi . Cette fois , je n’en peux plus, je sens mon sexe se contracter , dégouliner …

Je sors , me sèche … quoique pas complètement, Et je file enfiler un magnifique body-string rouge en dentelle, très échancré … et me plante au milieu du couloir, en l’attendant. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me plaquer contre le mur et me faire comprendre que je serais à lui ce soir.

Baisers coquins, côté face … me retourner pour profiter du côté pile et découvrir ce string qui ne couvre pas grand-chose. « vas m’attendre sur le lit à 4 pattes ». L’envie est tellement forte qu’on passe vite aux choses sérieuses. Il se met au chaud … mais je suis tellement mouillée qu’il coulisse et ressort vite … J’adore ce jeu-là , quand l’excitation est telle, qu’on peut se permettre de rendre fou l’autre.

Je le laisse me pénétrer … fort, profondément, une fois , deux fois … puis je le repousse, Il grogne , me regarde avec l’œil plein d’excitation qui rage de ne pas continuer … En missionnaire, sur le côté , en levrette … notre folie douce nous fait basculer dans la zone : on fait n’importe quoi mais c’est bon. Mes doigts s’étant égarés dans mon petit trou lorsque j’étais dans le bain, il en profite, tourne autour, appuie dessus …

Malheureusement, une mauvaise pensée, me fait revenir sur terre. Dans ces moments-là, mon sexe s’assèche vite et plus rien ne rentre.

ELLE : ça va se couper… je ne veux pas

LUI : allonge toi, tu verras ça ne s’arrêtera pas !

Il m’allonge, fait sauter les pressions du body et glisse sa tête entre mes cuisses. Je sens sa langue chaude sur mon clito, tellement excité que ça en est douloureux ! Mais plus je me détends, plus la brulure devient plaisir. Je me remets à mouiller , persuader qu’il va me reprendre . Mais une fois encore c’est lui qui décide, et c’est avec ses doigts qu’il me prend.

Deux doigts me remplissent, ils s’enfoncent petit à petit avec mes soupirs. Il pousse pour qu’ils soient loin. Il comprend vite que ça ne me suffit pas. Il en enfonce 3 … je sens qu’ils bougent à l’intérieur de moi, J’ai l’impression qu’ils cherchent quelque chose

… …

 

Je crois qu’ils viennent de le trouver. Une sensation étrange m’envahit, entre l’excitation et la douleur. Une sensation de brulure mais pas désagréable. Il comprend à mes mouvements qu’il a trouvé l’endroit qu’il cherche depuis de nombreux mois , cet endroit qui va me rendre folle. Il fouille, appuie, chatouille, caresse … Mais déjà je ne suis plus avec lui … Je sens mon corps s’ouvrir, complètement. Mes cuisses sont grandes ouvertes, j’hurle mon plaisir et tous les mots qui me passent par la tête. Je ne sais plus où je suis. Je sens mon cœur s’affoler, mes jambes trembler …

Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, cela me fait même peur . J’ai toujours pris beaucoup de plaisir avec mes partenaires mais là je sens que c’est différent, que cette sensation n’est pas celle d’un simple plaisir. Il accélère ses mouvements, il entre et sort. Appuie, caresse, repart. Je ne suis plus moi, juste un sexe trempe. Ecartelée au milieu du lit, je jure comme un camionneur, j’ai la tête qui tourne, je lâche prise … Je sens que je mouille plus que d’habitude d’ailleurs que ce n’est pas comme d’habitude. J’ai l’impression qu’il pourrait entrer tout entier en moi tellement je suis ouverte et trempée. J’alterne entre des frissons et des bouffées de chaleur. La sensation de me perdre et celle de vouloir qu’il continu à appuyer plus fort se battent en duel dans ma tête. Il remet sa langue sur mon clitoris et continue son massage interne.

Que c’est bon !!!! Je sens que ça vient …

Mais … Est-ce une mauvaise pensée, la peur de l’inconnu, la peur de lâcher ce plaisir qui est si différent ?

Mon corps se calme, tout comme mes soupirs et mes cris. Je comprends que mon plaisir s’en arrêtera là. Epuisée , je me retourne et commence à m’endormir. Contre mes fesses , je le sens s’exciter, je sens sa belle bite bien dure. Doucement, il essaye de rentrer. Trop épuisée, je lui propose de l’aider. On le caresse … et je le laisse se répandre sur ma croupe comme il aime temps.

LUI : comment te sens tu ?

ELLE : épuisée, tremblante…

D’un coup un fou rire me prend … je sais que cette réaction-là est provoquée par le plaisir …

LUI : qui a dit en début de soirée : « je te ferais perdre pieds ? »

ELLE : je crois que c’est moi …

LUI : qui à gagner ?

ELLE : TOI !

 

suite le lendemain midi …

LUI : tu sais que je suis fier de t’avoir fait découvrir ça

ELLE : tu peux l’être ! mais contre toutes attentes, je pensais que je serais irritée et incapable d’en vouloir encore mais c’est tout autre … je n’en peux plus … je te veux

LUI : ce soir , je compte bien te rendre encore plus folle qu’hier …

ELLE : paroles en l’air …

 

 

Suite au prochain épisode …

Par Choup
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 20:11

Un rituel simple, qui avait comme premier objectif celui de nous laver après la folle nuit que l'on vient de passer.

Mais … est-ce la mousse ? le contacts de nos corps ? l’eau chaude ? ou simplement le plaisir d’être ensemble … La baignoire se vide à vue d’œil et inonde la pièce. Il faut dire qu’on bouge beaucoup…

Récit de ce dimanche matin de mars …

J’étais assise dans l’eau, lui derrière moi. Je sentais sa queue dans mon dos, sur le haut des fesses, je la sentais vivre, bouger … Mais lui ce qui l’intéressait c’était de frotter le gant, sur mon dos, ma nuque … Puis bizarrement le gant disparaissait au profit de sa main (avec l’excuse que ça moussait mieux comme ça !) Et là , il me lavait les seins. Dessus, dessous, la pointe qu’il prenait grand soin de laver longuement, en la caressant avec attention afin qu’elle soit la plus grosse possible. Après c’était au tour de mes jambes et plus particulièrement de l’intérieur de mes cuisses. Un petit tour sur l’aine et puis s’en va … Il descendais, me chatouillais, repartais, revenais … Et il a finissait par élire domicile sur mes fesses. Il caressait le haut doucement, puis passait son doigt entre. Je l’aidais en me soulevant un peu… Et son doigt tournait autour de mon petit trou. Pas très portée sur la chose , je grognais … en vain !

Lui : laisse toi faire …

Ces quelques mots auraient dû me mettre la puce à l’oreille … Son doigt continuait de passer de haut en bas, doucement, C’était une des premières fois … apeurée je serais les fesses, Mais ses caresses me faisaient du bien. Alors doucement , je me suis détendue. Et doucement son doigt à commencé à chercher à entrer.

Elle : je suis trop étroite.

Lui : Détends toi …

Ces mots ont effet immédiat sur moi … Je sentais son doigt se presser contre la corolle, mais impossible d’y entrer. Il me fit me rassoir et se mit à me caresser devant. Ouvrir mon con et aller et venir le long de ma fente. Entre deux gémissements il en profita pour glisser sont doigt ...

j'ai adoré ce moment là ... callée entre ses cuisses, la tête projetée en arrière, je profitais pleinement des assaults de son doigt, au fond de mes fesses ...

 

Oui... encore ... plus fort ...

Par recitsdechoup
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recitsdechoup

 
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